AccueilInsolite Par Jules SavourĂ© PubliĂ© mercredi 14 octobre 2015 Ă 18h09 Ce nâest plus Ă prouver et câest loin dâĂȘtre un clichĂ© les hommes viennent de Mars et les femmes de voir aussiEntre nos deux sexes, il y a plus que des diffĂ©rences dâorigine ou mĂȘme de physique, il y a surtout des caractĂšres, rĂ©actions et autres habitudes complĂštement contraires. Ce qui nâen rend pas moins amusante la comparaison de ces situations de la vie de tous les jours ! Voici 15 situations de la vie de tous les jours qui prouvent que les hommes et les femmes ne viennent VRAIMENT pas de la mĂȘme planĂšte1. Quand on se prĂ©pare le matin on se regarde dans le miroir 3. Quand on regarde une femme dans la rue 4. Quand on juge le sexe opposĂ© 5. Quand on va aux toilettes 6. Quand on porte seulement » un tee-shirt 7. Quand on fait les courses 8. Quand on choisit notre shampooing 9. Quand on va chez le coiffeur 10. Quand on se partage le lit 11. Quand on fait ses valises 12. Quand on joue aux jeux vidĂ©o 13. Quand on organise notre lieu de travail 14. Quand on part en week-end, loin de Facebook 15. Quand on se sĂ©pare... Alors, câest bien vrai, non ? Reconnaissez-le⊠MalgrĂ© leurs diffĂ©rences, les hommes savent aussi faire preuve de sensibilitĂ©. Celio l'a bien compris et le montre dans sa nouvelle campagne avec beaucoup d'humour
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Ce texte est un sommaire de lâarticle Past and present come together as Brescia marks 100 years of womenâs education ».Pendant son long trajet Ă pied entre lâĂ©cole et la maison, Ă London, en Ontario, Mary Frances Dorschell pense souvent Ă Dieu ses parents sont catholiques pratiquants et Ă ce quâelle fera de sa vie. Elle nâest pas sortie de lâadolescence quand elle choisit de devenir religieuse. LâannĂ©e suivante, sa famille dĂ©mĂ©nage Ă Windsor, en Ontario, oĂč Mary Frances entre Ă la Holy Names Catholic High School. Les sĆurs sont gentilles et la jeune fille les aime bien, mais elle ne sent pas tout Ă fait Ă sa place parmi lâĂąge de seize ans, elle dĂ©cide donc dâessayer la seule autre Ă©cole secondaire catholique pour filles de Windsor. Cette Ă©cole est dirigĂ©e par une autre congrĂ©gation, celle des Ursulines, et Mary Frances se dit quâelle la frĂ©quentera pendant un an avant dâentrer au couvent. Mais selon elle, Dieu a dâautres plans. Quand jâai dĂ©couvert les Ursulines et ce quâelles faisaient, jâai eu le coup de foudre. »Câest ainsi quâelle se remĂ©more, 50 ans plus tard, la rĂ©vĂ©lation qui sâest transformĂ©e en engagement dâune vie envers lâordre des Ursulines et sa mission fondamentale dâĂ©duquer les femmes et de favoriser leur autonomie. Cette mission lâa menĂ©e au CollĂšge universitaire Brescia de London, dâabord comme Ă©tudiante, puis comme enseignante Ă partir de 1982. Au moment de son dĂ©part en juillet 2018, elle Ă©tait la derniĂšre Ursuline Ă rĂ©sider Ă lâ Ă lâUniversitĂ© Western Ontario, le CollĂšge Brescia occupe une place unique au Canada. Il sâagit en effet de la seule universitĂ© pour femmes au pays. Le CollĂšge cĂ©lĂšbre cette annĂ©e son 100e anniversaire, ce qui le place parmi les plus vieux Ă©tablissements exclusivement fĂ©minins en AmĂ©rique du Canada comme aux Ătats-Unis, les collĂšges pour femmes se sont largement tournĂ©s vers la mixitĂ©. Chez nos voisins du Sud, leur nombre est passĂ© de 230 dans les annĂ©es 1960 Ă environ 35 aujourdâhui. Chez nous, lâUniversitĂ© Mount Saint Vincent dâHalifax a admis ses premiers Ă©tudiants masculins en 1967, et le CollĂšge Ewart de lâUniversitĂ© de Toronto a ouvert ses portes aux hommes dans les annĂ©es 1970, avant de fusionner avec le CollĂšge Knox en parcours des UrsulinesLorsque lâambitieuse dirigeante de la communautĂ© des Ursulines de la rĂ©gion, mĂšre Clare Gaukler, a fondĂ© le CollĂšge en 1919, elle suivait le chemin tracĂ© par la fondatrice de lâordre, sainte AngĂšle MĂ©rici qui, au XVIe siĂšcle a eu une rĂ©vĂ©lation elle devait Ă©tablir une communautĂ© de femmes qui vivraient de façon indĂ©pendante et consacreraient leur vie Ă Dieu. Câest ainsi que lâordre de Sainte-Ursule a vu le jour, Ă Brescia, en Clare voyait la crĂ©ation dâun collĂšge pour femmes comme le prolongement de ce rĂȘve. Elle a donc fondĂ© ce qui sâest dâabord appelĂ© lâUrsuline College, un Ă©tablissement dirigĂ© par les Ursulines, oĂč les cours Ă©taient donnĂ©s par des sĆurs. Depuis toujours affiliĂ© Ă lâUniversitĂ© Western Ontario, il est devenu le CollĂšge Brescia en 1963, puis le CollĂšge universitaire Brescia en sĆurs dâUrsuline en 1936 devant lâUrsuline Hall. Toutes les photos sont du CollĂšge Theresa Mahoney est devenue aumĂŽniĂšre au CollĂšge en septembre 1994, les Ursulines y Ă©taient toujours bien prĂ©sentes. Comme elle nâavait aucune formation dâaumĂŽniĂšre, sĆur Theresa a demandĂ© conseil Ă un collĂšgue basilien de la congrĂ©gation de Saint-Basile, aumĂŽnier Ă lâUniversitĂ© Western, qui lui a simplement dit que le rĂŽle consistait Ă se rendre disponible pour les autres. Aujourdâhui Ă la retraite, elle continue de se rendre disponible. SituĂ© tout prĂšs de la chapelle dâUrsuline Hall, son bureau reprĂ©sente une petite parcelle de lâhistoire des au sommet dâune colline et surmontĂ© dâune croix, Ursuline Hall, ce vaste bĂątiment aux allures dâĂ©glise, tĂ©moigne des racines catholiques du CollĂšge Brescia. La communautĂ© locale des Ursulines, les Ursulines de Chatham, vieillit. SĆur Theresa explique que la plus jeune dâentre elles a 60 ans, et que les Ursulines ne recrutent plus de novices et nâexercent plus de soutiennent plutĂŽt des projets grĂące Ă des dons et sâemploient Ă transmettre les enseignements de leur fondatrice, ce que sĆur Theresa considĂšre comme leur mission la plus importante. La survie de notre forme de vie religieuse importe peu en comparaison de la volontĂ© de servir. Aujourdâhui, le monde est grand ouvert pour les femmes. Il y a donc une multitude de façons de servir. Notre rĂŽle Ă©tait peut-ĂȘtre de transmettre ces rĂȘves aux prochaines gĂ©nĂ©rations. »Susan Mumm a elle-mĂȘme portĂ© ce rĂȘve pendant ses trois annĂ©es comme principale du CollĂšge universitaire Brescia. Son bureau est Ă©galement situĂ© Ă Ursuline Hall, Ă lâĂ©tage au-dessus de celui de sĆur Theresa. Non catholique, cette historienne de formation incarne la nouvelle identitĂ© du CollĂšge. Elle parle avec passion de la place des femmes dans le monde dâaujourdâhui et du rĂŽle de lâĂ©tablissement dans leur arrivĂ©e au CollĂšge tient aussi de lâhistoire dâamour. Il sâagissait dâune occasion unique de me consacrer Ă ce qui me tient le plus Ă cĆur lâenseignement supĂ©rieur des femmes. Je ne pouvais pas dire non. »Ămancipation des femmesLa vision sacrĂ©e de sainte AngĂšle MĂ©rici, que partagent toutes les Ursulines, Ă©tait de donner le pouvoir aux femmes de toutes confessions. Câest pourquoi Mme Mumm estime que le CollĂšge Brescia demeure pertinent, mĂȘme si les fidĂšles nâont jamais Ă©tĂ© aussi peu nombreux dans les Ă©glises. Le CollĂšge a vu le nombre de ses Ă©tudiantes Ă©trangĂšres plus que doubler depuis dix ans, et sa population Ă©tudiante au premier cycle est passĂ©e de 1 300 Ă©tudiantes en 2013 Ă environ 1 550 aujourdâ la croissance du CollĂšge, certains experts expriment des doutes sur lâemployabilitĂ© des diplĂŽmĂ©es dâune universitĂ© rĂ©servĂ©e aux femmes. Ivona Hideg, professeure agrĂ©gĂ©e de commerce et dâĂ©conomie Ă lâUniversitĂ© Wilfrid Laurier et chercheuse en diversitĂ© des genres, estime que les Ă©tablissements dâenseignement entiĂšrement fĂ©minins nuisent Ă lâavancement des femmes Ă long terme. Elle craint que ceux-ci entretiennent les idĂ©es reçues voulant quâil existe des diffĂ©rences fondamentales dans la façon de travailler des hommes et des femmes et dans leurs capacitĂ©s innĂ©es. » Elle en tient pour preuve les cours que tendent Ă offrir ces universitĂ©s comme la plupart des Ă©tablissements rĂ©servĂ©s aux femmes, le CollĂšge Brescia se consacre aux arts libĂ©raux. On perpĂ©tue ainsi les stĂ©rĂ©otypes voulant que les femmes soient faites pour ça. »Susan Mumm avec des Ă©tudiants du CollĂšge que Mme Mumm soutienne que le CollĂšge Brescia nâest pas un Ă©tablissement enseignant uniquement les arts libĂ©raux, elle reconnaĂźt que les programmes de celui-ci sont principalement axĂ©s sur des domaines dĂ©jĂ dominĂ©s par les femmes, bien que les Ă©tudiantes sâintĂ©ressent de plus en plus aux diplĂŽmes professionnels. Elle croit nĂ©anmoins que lâUniversitĂ© offre davantage quâun diplĂŽme elle permet aussi de sâexprimer. Elle ne croit pas pour autant en lâexistence de diffĂ©rences fondamentales entre les hommes et les femmes. Elle a simplement vu la diffĂ©rence entre les salles de classe mixtes et celles du CollĂšge universitaire Brescia. MĂȘme si les universitĂ©s comptent plus dâĂ©tudiantes que jamais auparavant, elles nâoffrent pas forcĂ©ment des environnements favorables aux femmes », dit-elle. Elle se souvient clairement quâĂ lâĂ©poque oĂč elle donnait des exposĂ©s comme confĂ©renciĂšre Ă une autre universitĂ©, elle avait remarquĂ© le dĂ©sĂ©quilibre des voix dominantes dans la Mme Hideg, Mme Mumm se prĂ©occupe du sort des femmes sur le marchĂ© du travail. Mais selon elle, si les universitĂ©s ne peuvent pas changer instantanĂ©ment le monde dans lequel on vit, elles peuvent aider les Ă©tudiants Ă Ă©voluer. Je ne crois pas que nous isolions les femmes de façon artificielle. Nous leur donnons simplement quatre ans pour se prĂ©parer Ă faire face Ă un monde qui ne leur fera pas de cadeaux. »Un sentiment dâappartenanceErica DeFrancisco, une Ă©tudiante de 21 ans au CollĂšge universitaire Brescia, a Ă©tĂ© particuliĂšrement frappĂ©e par le sentiment dâappartenance sur le campus. Ă son arrivĂ©e il y a quatre ans, comme sĆur Mary Frances, elle a eu le coup de foudre. Le campus et la taille rĂ©duite des groupes lui plaisaient, mais elle avoue avoir dâabord hĂ©sitĂ© Ă frĂ©quenter une universitĂ© exclusivement fĂ©minine. Je ne savais pas Ă quoi mâattendre. Je pensais que le fait de rĂ©unir autant de filles entre elles pourrait entraĂźner certains psychodrames. » Mais aujourdâhui, Mme DeFrancisco se dit convaincue que cette dĂ©cision est la meilleure de sa vie. Toutes mes idĂ©es prĂ©conçues se sont envolĂ©es au bout de deux semaines de cours. »Raine Williams, une Ă©tudiante jamaĂŻcaine de 20 ans, Ă©prouvait les mĂȘmes apprĂ©hensions concernant le fait de cĂŽtoyer moins de garçons sur le campus. Mais en y repensant bien, je trouve que ça mâaide Ă participer davantage aux cours. Jâai lâoccasion de mâexprimer et de me faire entendre. »Pour Mme Mumm, il est Ă©vident que le monde et le CollĂšge Brescia ont beaucoup changĂ©. Mais malgrĂ© la disparition progressive de la dimension religieuse de lâĂ©tablissement, elle croit que tous ceux qui y travaillent comprennent lâĆuvre des Ursulines et la soutiennent. Les Ursulines nous ont transmis leur mission. La congrĂ©gation a Ă©tĂ© créée pour Ă©duquer les femmes et les jeunes filles. Tant que nous continuerons de le faire, nous serons des Ursulines, mĂȘme sâil ne reste plus une seule religieuse Ă 100 km Ă la ronde. »
Femme traditionnelle Le Maroc, riche de son patrimoine religieux et culturel est en pleine mutation. Il connait une vĂ©ritable Ă©mancipation au niveau social, Ă©conomique, politique et culturel. Lâengagement vers la modernitĂ© et lâattachement aux valeurs ancestrales lui confĂšrent son caractĂšre exceptionnel. La femme est de plus en plus prĂ©sente dans la vie politique et Ă©conomique. Elle occupe des postes de premier plan comme ministre, ambassadrice ou dĂ©putĂ©e. La rĂ©forme du code de la femme a permit lâĂ©mancipation des femmes. Leur droits sont renforcĂ©s de lâĂ©quitĂ© entre conjoints et les droits de lâenfant sont protĂ©gĂ©s. La femme marocaine bien quâelle soit ouverte aux monde occidental en parlant le français ou lâanglais, elle reste fidĂšle Ă sa langue maternelle, elle prend soin de lâapprendre Ă ses enfants. CotĂ© vestimentaire; porter un jean ou un tailleur ne lâa pas laissĂ© abandonner son djellaba. Au dressing, le caftan cĂŽtoie sa robe soirĂ©e. Elle rĂ©ussit Ă mettre en Ă©vidence sa beautĂ© dans le confort et lâĂ©lĂ©gance de lâun et la splendeur et le sublime de lâautre. Retrouver son Ă©quilibre entre le moderne et le traditionnel est une preuve de rĂ©ussite chez la femme marocaine; si elle fĂȘte le nouvel an entre famille ou amis, elle prend soin de fĂȘter lâAid El kebir et LâAid Sghir avec fiertĂ© et amour. Femme moderne RĂ©cemment, la vision de la femme a changĂ©, son rĂŽle ne se limite plus Ă garder ses enfants et satisfaire les besoins de son mari, ses aspirations sont plus grandes, elle nâaccepte plus quâelle soit lâĂȘtre second. Elle cherche sa place dans la sociĂ©tĂ©, ainsi elle commence Ă sâorganiser dans des associations, sâĂ©duquer et Ă crĂ©er son espace de libertĂ© afin de lutter pour lâobtention de ses propres droits. Nombreux sont les dossiers qui dĂ©rangent encore la femme dans sa dĂ©marche vers une vie honorable. Le phĂ©nomĂšne du mariage des mineurs, est toujours une rĂ©alitĂ© qui continue de prendre de lâampleur au Maroc, et dâengendrer des dĂ©gĂąts sociaux irrĂ©mĂ©diables. La femme marocaine continue sa lutte contre toutes les formes de violence quâelle subit soit dans sa vie conjugale, professionnelle ou en tant que genre fĂ©minin comme lâharcĂšlement sexuel ou lâagression sexuel. Le chemin est encore long pour que la femme au Maroc obtienne ses droits et acquiert la place quâelle mĂ©rite quâelle soit dans la ville ou dans la campagne, sa contribution dans la sociĂ©tĂ© est aussi grande que son don et sa gĂ©nĂ©rositĂ© naturelle qui la font vivre en parfaite harmonie entre modernitĂ© et traditions.
Ilen rĂ©sulte qu'elle se contentait de cette situation qu'elle avait dĂ©jĂ acceptĂ©e et apprĂ©hendĂ©e depuis son plus jeune age . Par contre, la femme aujourd'hui est tout Ă
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Ce code Ă©tait inĂ©galitaire et basĂ© sur une interprĂ©tation trĂšs orthodoxe du Coran. L'homme y est dĂ©fini comme le chef de la famille et supĂ©rieur Ă la femme, tandis que la femme a Ă©tĂ© dĂ©clarĂ©e comme mineure sous la tutelle d'un homme. Ces restrictions juridiques ont empĂȘchĂ© les femmes de demander le divorce, de conserver la garde des enfants en cas de divorce, ou lâobtention dâun hĂ©ritage n'y avait pas d'Ăąge lĂ©gal minimum pour le mariage. âą La femme ne donnait pas son consentement au mariage. âą La polygamie Ă©tait lĂ©gale. âą Un homme pouvait mettre un terme au mariage Ă volontĂ© en rĂ©pudiant » sa femme sans procĂ©dure juridique. âą La femme devrait avoir la permission dâun homme pour obtenir un passeport ou commencer un commerce. La dĂ©cennie 1970 âą Le climat politique a enregistrĂ© une ouverture relative et une plus grande libertĂ© dâexpression. âą Plus dâassociations socioprofessionnelles sont apparues. âą La rĂ©vision de la Moudawana est restĂ©e une question ambigĂŒe, mais la question du statut juridique et la reprĂ©sentation des femmes dans les postes de responsabilitĂ©s Ă©taient dĂ©cennie 1980 âą Les femmes ont commencĂ© Ă constater, Ă rĂ©flĂ©chir et Ă dĂ©noncer elles-mĂȘmes la condition fĂ©minine alors que durant la pĂ©riode prĂ©cĂ©dente les voix fĂ©minines Ă©taient guidĂ©es par lâĂ©criture masculine. âą Une relecture de lâhistoire de lâIslam Ă partir dâune perspective fĂ©ministe mettant en valeur la tradition progressiste et Ă©galitaire du ProphĂšte. âą La dimension rĂ©gionale, dĂ©cennie 1990 Quelques mobilisations importantes ont obtenu un succĂšs modĂ©rĂ© dans la rĂ©forme de la Moudawana. L'une des activitĂ©s les plus importantes Ă l'Ă©poque Ă©tait la campagne un million de signatures », qui soutenait une pĂ©tition en faveur de la rĂ©forme de la Moudawana. La pĂ©tition a Ă©tĂ© un grand succĂšs et a illustrĂ© le soutien important du Nouveau Roi; Nouveau chapitre Comment espĂ©rer assurer progrĂšs et prospĂ©ritĂ© Ă une sociĂ©tĂ© alors que ses femmes, qui en constituent la moitiĂ©, voient leurs droits bafouĂ©s »Un nouveau Code de la Famille RedĂ©finition du Mariage Le mariage est un pacte fondĂ© sur le consentement mutuel en vue dâĂ©tablir une union lĂ©gale et durable entre un homme et une femme. Il a pour but la vie dans une fidĂ©litĂ© rĂ©ciproque, la puretĂ© et la fondation dâune famille stable sous la direction des deux Ă©poux, conformĂ©ment aux dispositions du prĂ©sent Code ».L'Ăąge du mariage l'Ăąge du mariage est uniformĂ©ment fixĂ© Ă 18 divorce Le divorce est dĂ©fini comme une dissolution des liens du mariage que le mari et l'Ă©pouse exercent, sous contrĂŽle judiciaire, selon des conditions lĂ©gales propres Ă chacun d'entre Acquis Le nouveau code introduit la possibilitĂ© pour les Ă©poux de se mettre dâaccord. En cas de dĂ©saccord, ils devront recourir au juge qui se basera sur les conditions gĂ©nĂ©rales de preuve afin dâĂ©valuer la contribution de chacun des deux Ă©poux aux biens acquis durant le polygamie La polygamie est dĂ©sormais soumise Ă l'autorisation du juge et Ă des conditions lĂ©gales draconiennes qui la rendent presque » impossible. La Population Marocaine Ă LâĂ©tranger. Lâacte de mariage doit ĂȘtre Ă©tabli en prĂ©sence de deux tĂ©moins musulmans et en conformitĂ© aves les procĂ©dures en cours dans le pays dâaccueil, puis enregistrĂ© par les services consulaires ou judicaires nationaux. Ă lâaube de lâindĂ©pendance, la scolarisation des filles est restĂ©e un phĂ©nomĂšne citadin. Le monde rural nâa pas enregistrĂ© la mĂȘme tendance progressive, surtout, en ce qui concerne les LâĂ©loignement des Ă©tablissements scolaires - Les Ă©tablissements scolaires ne rĂ©pondent pas aux normes sans clĂŽture, non raccordĂ© au rĂ©seau dâeau potable, ou rĂ©seau dâĂ©lectricitĂ©. - lâabsence ou la non-adĂ©quation des structures sanitaires pour les filles en milieu scolaire. - les horaires scolaires inadaptĂ©s aux conditions sociales et gĂ©ographiques du milieu. - lâabsence de soutien moral et financier. - lâinsĂ©curitĂ© et les violences Ă lâĂ©gard des filles en milieu scolaire et pĂ©riscolaire. Les causes suspectĂ©es âą PauvretĂ© âą Manque ou insuffisance de suivi prĂ©natal âą Accouchements non assistĂ©s par des professionnels qualifiĂ©s âą AnalphabĂ©tisme et ignorance âą DifficultĂ©s dâaccĂšs âą Accueil dĂ©sobligeant âą Corruption âą Manque de suivi âą de votre attention
21ÙÙÙŰ±Ù 2013. #1. Femme Traditionnelle, Femme dâaujourdâhui. . La Femme depuis le commencement des temps a toujours Ă©tĂ© le berceau de la vie, sans elle, le
AprĂšs le coup mĂ©diatique organisĂ© par le Chinese Business Club invitant Ă Paris Sophie Marceau comme Guest star » de la journĂ©e de la femme le 8 Mars 2016, on pourrait croire que notre actrice serait la vedette française de la Chine. Des hommes chinois peut-ĂȘtre, mais pour les femmes je pencherais plutĂŽt pour la styliste Stella Mc Cartney dont les chaussures Ă plateforme font fureur dans les grandes villes. femme dans la Chine Quâelles soient Ă 100 euros ou Ă 650, vraies ou fausses, elles se retrouvent aux pieds dâun bon nombre de femmes chinoises rĂȘvant de ressembler Ă nos icones de mode. A lâinstar du communisme russe, le communisme chinois a donnĂ© des droits aux femmes identiques Ă ceux des hommes. femme dans la Chine Celui de travailler, de divorcer, dâĂȘtre indĂ©pendante mais certainement pas celui dâĂȘtre fĂ©minine et doser le montrer. On retrouve dans ces deux pays la joie de se vĂȘtir comme un mannequin, d apprĂ©cier sa fĂ©minitĂ© mais aussi les deux rĂȘves communs et antinomiques, celui dâĂ©pouser un homme riche ou dâĂȘtre une femme libre et indĂ©pendante. Mon dernier voyage dans ce pays organisĂ© pour la journĂ©e de la Femme a confirmĂ© encore une fois combien il est difficile de parler des femmes tant sont nombreuses les facettes et les styles des femmes chinoises. Comme le dĂ©crivent Tania Angeloff et MarylĂšne Liebern dans Chinoises au XXIĂšme siĂšcle »*, quoi de commun entre la paysanne restĂ©e Ă la terre et qui est dĂ©pendante de lâĂ©conomie familiale, la jeune rurale qui en devenant ouvriĂšre dans une usine gagne un peu dâindĂ©pendance financiĂšre, mais un peu moins que celle qui devient domestique dans une ville, et la jeune urbaine qui entre Ă lâuniversitĂ© ou la citadine diplĂŽmĂ©e soutenue par sa famille. Et que dire de la femme chinoise dirigeant un club dâaffaires de renom mâavouant sa difficultĂ© Ă ĂȘtre une bonne mĂšre ! Outre les diffĂ©rences sociales, il y aussi les diffĂ©rences gĂ©ographiques Ă lâinverse de notre culture europĂ©enne le Sud y est plus Ă©galitaire alors que le Nord traditionnel empĂȘchera toujours un homme de faire la cuisine. Pour le moment en tous les cas. Une pression sociale trĂšs forte, des traditions ancrĂ©es dans la sociĂ©tĂ© contemporaine femme dans la Chine Il y a de multiples façons dâĂȘtre une femme en Chine et lâon voit dans ces diffĂ©rences les contradictions de ce pays. La campagne oĂč la femme travaille autant que lâhomme peut envoyer une gamine se marier pour de lâargent lorsque la pauvretĂ© atteint un stade insupportable. Celles qui sâen sortent seront heureuses de devenir la Ayi » femme de mĂ©nage dâune famille. La jeune Ă©tudiante de Chengdu, la capitale du Sichuan, 9 millions dâhabitants, magasins ouverts jusquâĂ 22 heures le soir, rĂȘve de libertĂ©. Celle que ses parents poussent Ă ĂȘtre la premiĂšre de lâUniversitĂ© de Shanghai sait quâelle devra avant 30 ans, trouver un job et un bon mari, puis faire un enfant, puis sâoccuper de ses parents et beaux-parents. Alors faire un deuxiĂšme enfant comme le gouvernement le permet maintenant, nâest franchement pas Ă lâordre du jour des jeunes couples qui ne voient dĂ©jĂ pas comment acquĂ©rir tous les objets dont ils rĂȘvent avec un enfant ; Alors avec deux ! Et puis Ă lâextrĂȘme bout de lâĂ©chelle, il y a Zhang Xin, la prĂ©sidente de Soho, groupe immobilier de Shanghai, que lâon retrouve dans les Womenâs Forums » et qui est le rĂŽle modĂšle qui permet Ă certains de dire que lâĂ©galitĂ© entre les femmes et les hommes existent en Chine. Certes si elles acceptent de tout faire, les femmes peuvent rĂ©ussir lĂ ou les françaises nâarrivent que difficilement, tout en haut de la pyramide. Mais jâai aussi rencontrĂ© durant mon voyage des activistes qui oseront dire que ce pays traditionnaliste et paternaliste depuis des millĂ©naires nâa pas changĂ© et que les riches chinois ont toujours des maitresses comme au temps de la cour impĂ©riale. Avec une hiĂ©rarchie trĂšs chinoise. femme dans la Chine Ce pays, comme tant dâautres, voit sa population vieillir et la politique du second enfant est lâune des rĂ©ponses Ă cette question Ă©conomique. Sauf quâen Chine selon le China Daily du 9 mars 2016 Ă©lever un enfant coĂ»te en moyenne 91 800 dollars. Alors pour beaucoup, un enfant cela suffit. Certaines jeunes femmes me feront remarquer quâil est dĂ©jĂ difficile dâĂȘtre enceinte une fois dans une entreprise, alors deux seraient trop discriminantes. Aujourdâhui la force de travail chinoise comprise entre 15 et 59 ans compte 700 millions de personnes, elle en comptera 940 millions en 2050. Ce qui sera insuffisant. La population touchera un pic en 2030 avec 1 milliard 45 personnes pour alors commencer Ă baisser. La gĂ©nĂ©ration Y voire Z voudrait bien changer la sociĂ©tĂ© chinoise et ses traditions LâĂ©galitĂ© entre les femmes et les hommes existe nĂ©anmoins pour certaines femmes si elles sont aidĂ©es et quâelles acceptent de travailler beaucoup. Comme tous les chinois dâailleurs. Dans lâUniversitĂ© de Chengdu, lorsque je termine mon dĂ©bat il est 20h30 et tous les Ă©tudiants sont encore en train de travailler dans les salles de classe. Cette gĂ©nĂ©ration de 20 Ă 23 ans se pose les mĂȘmes questions que les jeunes europĂ©ens mais ils savent dâores et dĂ©jĂ que leur environnement est et reste plus difficile. Pourtant leur volontĂ© de changer la sociĂ©tĂ© est bel et bien lĂ . Mais comment faire face Ă cette pression dans un environnement oĂč lâargent est roi et oĂč lâharmonie doit ĂȘtre respectĂ©e avant tout. Mon voyage en Chine me dĂ©montre que cette gĂ©nĂ©ration a grandi dans lâĂ©galitĂ© et les questions des garçons sont aussi pertinentes que celles des filles. Cette gĂ©nĂ©ration prĂ©figure tâelle les changements qui arriveront forcĂ©ment dans un pays oĂč la nĂ©cessitĂ© Ă©conomique pourrait faire pression vers une Ă©galitĂ© professionnelle en attendant une Ă©galitĂ© rĂ©elle ? * Chinoises au XXIĂš siĂšcle ruptures et continuitĂ©s » sous la direction de Tania Angeloff et MarylĂšne Lieber. Edition La DĂ©couvertelwu7Fp5.