deleted776124 Bonsoir, La différence entre la femme d'hier et celle d'aujourd'hui il y a énormément de différences. Celle d'hier se contenter de peu et elle arrivait à avancer dans la vie quotidienne sur l'éducation de ses enfants, elle était heureuse avec peu de choses.
Les articles publiĂ©s dans cette rubrique ne reflĂštent pas nĂ©cessairement les opinions de Nawaat. A chaque fois qu’on parle des droits de la femme, on dit que la femme est la soeur, la mĂšre, la cousine, la voisine! N’est-il pas temps de dire que la femme est la blogueuse, la journaliste, la militante, la mĂ©decin, la ministre ?! Est ce qu’on peut encore douter que la femme est moins compĂ©tente que l’homme?! qu’elle est moins qu’un ĂȘtre humain ?! Que sont rĂŽle consiste en trois tĂąches le sexe, les enfants et le mĂ©nage ?! Par Hidri Jouda. A chaque fois qu’on parle des droits de la femme, on dit que la femme est la soeur, la mĂšre, la cousine, la voisine! N’est-il pas temps de dire que la femme est la blogueuse, la journaliste, la militante, la mĂ©decin, la ministre ?! Est ce qu’on peut encore douter que la femme est moins compĂ©tente que l’homme?! qu’elle est moins qu’un ĂȘtre humain ?! Que sont rĂŽle consiste en trois tĂąches le sexe, les enfants et le mĂ©nage ?! Assez de parler des droits de la femme en Tunisie, comme si elle est la pauvre victime des annĂ©es 60! N’est-il pas temps de se mettre un peu Ă  jour et voir dans le monde qu’est ce qu’on est en train de faire, surtout dans des pays oĂč la situation de la femme n’est pas trĂšs diffĂ©rente de la notre?! N’est-il pas temps d’arrĂȘter de se comparer aux autre pays arabes qui sont bien derriĂšres nous et regarder plutĂŽt les pays qui nous devancent ?! N’est-il pas temps de considĂ©rer la femme en tant Ă©lĂ©ment actif de la sociĂ©tĂ©, l’économie et pourquoi pas la politique?! au lieu de la limiter encore Ă  son rĂŽle biologique et la percevoir seulement en tant que membre de la famille ?! MalgrĂ© le statut de la femme en Tunisie, sa prĂ©sence dans certains domaines est trĂšs mĂ©diocre! On se demande pourquoi ?! Est-elle moins compĂ©tente ?! Est ce qu’elle est plus dĂ©favorisĂ©e que l’homme ?! de quel cĂŽtĂ© ?! c’est quoi le problĂšme et comment est ce qu’on peut le rĂ©soudre ?! Lorsqu’on regarde certains pays dans le monde, on remarque qu’on se contente pas de donner les mĂȘme droits aux hommes et aux femmes, au contraire, on essaie dans certains pays de prĂ©senter des encouragement pour les femmes! Par exemple en Grande Bretagne, on cherche Ă  encourager les filles pour s’intĂ©resser aux sciences, or la plupart des chercheurs sont des hommes! Des organisations internationales, oĂč les leadeurs sont entre autres des indiennes, cherchent Ă  encadrer les chercheuses et les inventeurs femmes pour leur apprendre Ă  mieux maĂźtriser leurs compĂ©tences et mieux exploiter leurs crĂ©ativitĂ©! En Lettonie par exemple, rĂ©ussir pour une femme n’est pas Ă©tonnant! Or presque la moitiĂ© des chefs d’entreprises sont des femmes, le chef du journal principal dans le pays est une femmes, et mĂȘme le chef de l’état est une femme aussi! Au suĂšde, on a choisit que la politique du pays se base sur l’égalitĂ© entre les citoyens en particuliers entre les hommes et les femmes, et les rĂ©sultats Ă©taient positifs or plus que la moitiĂ© du parlement suĂ©dois est reprĂ©sentĂ© par des femmes! Donc, peut-on espĂ©rer dorĂ©navant de voir une rĂ©elle Ă©galitĂ© non pas seulement une Ă©galitĂ© au niveau des lois n’ayant pas de rapport avec la pratique? Une Ă©galitĂ© au niveau des droits et des devoirs aussi, oĂč les chances sont les mĂȘme pour les hommes et les femmes pour construire pour ce pays ?! Non pas des droits qui visent seulement un bien ĂȘtre pour les femmes sans de rĂ©el plus pour le pays!
Dautre part, la situation des femmes sur le marchĂ© du travail aujourd’hui est dĂ©calĂ©e par rapport Ă  leur niveau de diplĂŽme, surtout pour les plus jeunes. Parmi les personnes en emploi, la part des femmes disposant d’un diplĂŽme supĂ©rieur Ă  bac + 2 est plus Ă©levĂ©e que celle des hommes depuis le dĂ©but des annĂ©es 2000, et pourtant les
AccueilInsolite Par Jules SavourĂ© PubliĂ© mercredi 14 octobre 2015 Ă  18h09 Ce n’est plus Ă  prouver et c’est loin d’ĂȘtre un clichĂ© les hommes viennent de Mars et les femmes de voir aussiEntre nos deux sexes, il y a plus que des diffĂ©rences d’origine ou mĂȘme de physique, il y a surtout des caractĂšres, rĂ©actions et autres habitudes complĂštement contraires. Ce qui n’en rend pas moins amusante la comparaison de ces situations de la vie de tous les jours ! Voici 15 situations de la vie de tous les jours qui prouvent que les hommes et les femmes ne viennent VRAIMENT pas de la mĂȘme planĂšte1. Quand on se prĂ©pare le matin on se regarde dans le miroir 3. Quand on regarde une femme dans la rue 4. Quand on juge le sexe opposĂ© 5. Quand on va aux toilettes 6. Quand on porte seulement » un tee-shirt 7. Quand on fait les courses 8. Quand on choisit notre shampooing 9. Quand on va chez le coiffeur 10. Quand on se partage le lit 11. Quand on fait ses valises 12. Quand on joue aux jeux vidĂ©o 13. Quand on organise notre lieu de travail 14. Quand on part en week-end, loin de Facebook 15. Quand on se sĂ©pare... Alors, c’est bien vrai, non ? Reconnaissez-le
 MalgrĂ© leurs diffĂ©rences, les hommes savent aussi faire preuve de sensibilitĂ©. Celio l'a bien compris et le montre dans sa nouvelle campagne avec beaucoup d'humour
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Les sƓurs sont gentilles et la jeune fille les aime bien, mais elle ne sent pas tout Ă  fait Ă  sa place parmi l’ñge de seize ans, elle dĂ©cide donc d’essayer la seule autre Ă©cole secondaire catholique pour filles de Windsor. Cette Ă©cole est dirigĂ©e par une autre congrĂ©gation, celle des Ursulines, et Mary Frances se dit qu’elle la frĂ©quentera pendant un an avant d’entrer au couvent. Mais selon elle, Dieu a d’autres plans. Quand j’ai dĂ©couvert les Ursulines et ce qu’elles faisaient, j’ai eu le coup de foudre. »C’est ainsi qu’elle se remĂ©more, 50 ans plus tard, la rĂ©vĂ©lation qui s’est transformĂ©e en engagement d’une vie envers l’ordre des Ursulines et sa mission fondamentale d’éduquer les femmes et de favoriser leur autonomie. Cette mission l’a menĂ©e au CollĂšge universitaire Brescia de London, d’abord comme Ă©tudiante, puis comme enseignante Ă  partir de 1982. Au moment de son dĂ©part en juillet 2018, elle Ă©tait la derniĂšre Ursuline Ă  rĂ©sider Ă  l’ Ă  l’UniversitĂ© Western Ontario, le CollĂšge Brescia occupe une place unique au Canada. Il s’agit en effet de la seule universitĂ© pour femmes au pays. Le CollĂšge cĂ©lĂšbre cette annĂ©e son 100e anniversaire, ce qui le place parmi les plus vieux Ă©tablissements exclusivement fĂ©minins en AmĂ©rique du Canada comme aux États-Unis, les collĂšges pour femmes se sont largement tournĂ©s vers la mixitĂ©. Chez nos voisins du Sud, leur nombre est passĂ© de 230 dans les annĂ©es 1960 Ă  environ 35 aujourd’hui. Chez nous, l’UniversitĂ© Mount Saint Vincent d’Halifax a admis ses premiers Ă©tudiants masculins en 1967, et le CollĂšge Ewart de l’UniversitĂ© de Toronto a ouvert ses portes aux hommes dans les annĂ©es 1970, avant de fusionner avec le CollĂšge Knox en parcours des UrsulinesLorsque l’ambitieuse dirigeante de la communautĂ© des Ursulines de la rĂ©gion, mĂšre Clare Gaukler, a fondĂ© le CollĂšge en 1919, elle suivait le chemin tracĂ© par la fondatrice de l’ordre, sainte AngĂšle MĂ©rici qui, au XVIe siĂšcle a eu une rĂ©vĂ©lation elle devait Ă©tablir une communautĂ© de femmes qui vivraient de façon indĂ©pendante et consacreraient leur vie Ă  Dieu. C’est ainsi que l’ordre de Sainte-Ursule a vu le jour, Ă  Brescia, en Clare voyait la crĂ©ation d’un collĂšge pour femmes comme le prolongement de ce rĂȘve. Elle a donc fondĂ© ce qui s’est d’abord appelĂ© l’Ursuline College, un Ă©tablissement dirigĂ© par les Ursulines, oĂč les cours Ă©taient donnĂ©s par des sƓurs. Depuis toujours affiliĂ© Ă  l’UniversitĂ© Western Ontario, il est devenu le CollĂšge Brescia en 1963, puis le CollĂšge universitaire Brescia en sƓurs d’Ursuline en 1936 devant l’Ursuline Hall. Toutes les photos sont du CollĂšge Theresa Mahoney est devenue aumĂŽniĂšre au CollĂšge en septembre 1994, les Ursulines y Ă©taient toujours bien prĂ©sentes. Comme elle n’avait aucune formation d’aumĂŽniĂšre, sƓur Theresa a demandĂ© conseil Ă  un collĂšgue basilien de la congrĂ©gation de Saint-Basile, aumĂŽnier Ă  l’UniversitĂ© Western, qui lui a simplement dit que le rĂŽle consistait Ă  se rendre disponible pour les autres. Aujourd’hui Ă  la retraite, elle continue de se rendre disponible. SituĂ© tout prĂšs de la chapelle d’Ursuline Hall, son bureau reprĂ©sente une petite parcelle de l’histoire des au sommet d’une colline et surmontĂ© d’une croix, Ursuline Hall, ce vaste bĂątiment aux allures d’église, tĂ©moigne des racines catholiques du CollĂšge Brescia. La communautĂ© locale des Ursulines, les Ursulines de Chatham, vieillit. SƓur Theresa explique que la plus jeune d’entre elles a 60 ans, et que les Ursulines ne recrutent plus de novices et n’exercent plus de soutiennent plutĂŽt des projets grĂące Ă  des dons et s’emploient Ă  transmettre les enseignements de leur fondatrice, ce que sƓur Theresa considĂšre comme leur mission la plus importante. La survie de notre forme de vie religieuse importe peu en comparaison de la volontĂ© de servir. Aujourd’hui, le monde est grand ouvert pour les femmes. Il y a donc une multitude de façons de servir. Notre rĂŽle Ă©tait peut-ĂȘtre de transmettre ces rĂȘves aux prochaines gĂ©nĂ©rations. »Susan Mumm a elle-mĂȘme portĂ© ce rĂȘve pendant ses trois annĂ©es comme principale du CollĂšge universitaire Brescia. Son bureau est Ă©galement situĂ© Ă  Ursuline Hall, Ă  l’étage au-dessus de celui de sƓur Theresa. Non catholique, cette historienne de formation incarne la nouvelle identitĂ© du CollĂšge. Elle parle avec passion de la place des femmes dans le monde d’aujourd’hui et du rĂŽle de l’établissement dans leur arrivĂ©e au CollĂšge tient aussi de l’histoire d’amour. Il s’agissait d’une occasion unique de me consacrer Ă  ce qui me tient le plus Ă  cƓur l’enseignement supĂ©rieur des femmes. Je ne pouvais pas dire non. ȃmancipation des femmesLa vision sacrĂ©e de sainte AngĂšle MĂ©rici, que partagent toutes les Ursulines, Ă©tait de donner le pouvoir aux femmes de toutes confessions. C’est pourquoi Mme Mumm estime que le CollĂšge Brescia demeure pertinent, mĂȘme si les fidĂšles n’ont jamais Ă©tĂ© aussi peu nombreux dans les Ă©glises. Le CollĂšge a vu le nombre de ses Ă©tudiantes Ă©trangĂšres plus que doubler depuis dix ans, et sa population Ă©tudiante au premier cycle est passĂ©e de 1 300 Ă©tudiantes en 2013 Ă  environ 1 550 aujourd’ la croissance du CollĂšge, certains experts expriment des doutes sur l’employabilitĂ© des diplĂŽmĂ©es d’une universitĂ© rĂ©servĂ©e aux femmes. Ivona Hideg, professeure agrĂ©gĂ©e de commerce et d’économie Ă  l’UniversitĂ© Wilfrid Laurier et chercheuse en diversitĂ© des genres, estime que les Ă©tablissements d’enseignement entiĂšrement fĂ©minins nuisent Ă  l’avancement des femmes Ă  long terme. Elle craint que ceux-ci entretiennent les idĂ©es reçues voulant qu’il existe des diffĂ©rences fondamentales dans la façon de travailler des hommes et des femmes et dans leurs capacitĂ©s innĂ©es. » Elle en tient pour preuve les cours que tendent Ă  offrir ces universitĂ©s comme la plupart des Ă©tablissements rĂ©servĂ©s aux femmes, le CollĂšge Brescia se consacre aux arts libĂ©raux. On perpĂ©tue ainsi les stĂ©rĂ©otypes voulant que les femmes soient faites pour ça. »Susan Mumm avec des Ă©tudiants du CollĂšge que Mme Mumm soutienne que le CollĂšge Brescia n’est pas un Ă©tablissement enseignant uniquement les arts libĂ©raux, elle reconnaĂźt que les programmes de celui-ci sont principalement axĂ©s sur des domaines dĂ©jĂ  dominĂ©s par les femmes, bien que les Ă©tudiantes s’intĂ©ressent de plus en plus aux diplĂŽmes professionnels. Elle croit nĂ©anmoins que l’UniversitĂ© offre davantage qu’un diplĂŽme elle permet aussi de s’exprimer. Elle ne croit pas pour autant en l’existence de diffĂ©rences fondamentales entre les hommes et les femmes. Elle a simplement vu la diffĂ©rence entre les salles de classe mixtes et celles du CollĂšge universitaire Brescia. MĂȘme si les universitĂ©s comptent plus d’étudiantes que jamais auparavant, elles n’offrent pas forcĂ©ment des environnements favorables aux femmes », dit-elle. Elle se souvient clairement qu’à l’époque oĂč elle donnait des exposĂ©s comme confĂ©renciĂšre Ă  une autre universitĂ©, elle avait remarquĂ© le dĂ©sĂ©quilibre des voix dominantes dans la Mme Hideg, Mme Mumm se prĂ©occupe du sort des femmes sur le marchĂ© du travail. Mais selon elle, si les universitĂ©s ne peuvent pas changer instantanĂ©ment le monde dans lequel on vit, elles peuvent aider les Ă©tudiants Ă  Ă©voluer. Je ne crois pas que nous isolions les femmes de façon artificielle. Nous leur donnons simplement quatre ans pour se prĂ©parer Ă  faire face Ă  un monde qui ne leur fera pas de cadeaux. »Un sentiment d’appartenanceErica DeFrancisco, une Ă©tudiante de 21 ans au CollĂšge universitaire Brescia, a Ă©tĂ© particuliĂšrement frappĂ©e par le sentiment d’appartenance sur le campus. À son arrivĂ©e il y a quatre ans, comme sƓur Mary Frances, elle a eu le coup de foudre. Le campus et la taille rĂ©duite des groupes lui plaisaient, mais elle avoue avoir d’abord hĂ©sitĂ© Ă  frĂ©quenter une universitĂ© exclusivement fĂ©minine. Je ne savais pas Ă  quoi m’attendre. Je pensais que le fait de rĂ©unir autant de filles entre elles pourrait entraĂźner certains psychodrames. » Mais aujourd’hui, Mme DeFrancisco se dit convaincue que cette dĂ©cision est la meilleure de sa vie. Toutes mes idĂ©es prĂ©conçues se sont envolĂ©es au bout de deux semaines de cours. »Raine Williams, une Ă©tudiante jamaĂŻcaine de 20 ans, Ă©prouvait les mĂȘmes apprĂ©hensions concernant le fait de cĂŽtoyer moins de garçons sur le campus. Mais en y repensant bien, je trouve que ça m’aide Ă  participer davantage aux cours. J’ai l’occasion de m’exprimer et de me faire entendre. »Pour Mme Mumm, il est Ă©vident que le monde et le CollĂšge Brescia ont beaucoup changĂ©. Mais malgrĂ© la disparition progressive de la dimension religieuse de l’établissement, elle croit que tous ceux qui y travaillent comprennent l’Ɠuvre des Ursulines et la soutiennent. Les Ursulines nous ont transmis leur mission. La congrĂ©gation a Ă©tĂ© créée pour Ă©duquer les femmes et les jeunes filles. Tant que nous continuerons de le faire, nous serons des Ursulines, mĂȘme s’il ne reste plus une seule religieuse Ă  100 km Ă  la ronde. »
Onse marie moins. Sans surprise, la proportion de couples vivant en union libre a augmenté au cours des derniÚres années. Elle a quintuplé entre 1981 et 2011, passant de 2,6% à
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Femme traditionnelle Le Maroc, riche de son patrimoine religieux et culturel est en pleine mutation. Il connait une vĂ©ritable Ă©mancipation au niveau social, Ă©conomique, politique et culturel. L’engagement vers la modernitĂ© et l’attachement aux valeurs ancestrales lui confĂšrent son caractĂšre exceptionnel. La femme est de plus en plus prĂ©sente dans la vie politique et Ă©conomique. Elle occupe des postes de premier plan comme ministre, ambassadrice ou dĂ©putĂ©e. La rĂ©forme du code de la femme a permit l’émancipation des femmes. Leur droits sont renforcĂ©s de l’équitĂ© entre conjoints et les droits de l’enfant sont protĂ©gĂ©s. La femme marocaine bien qu’elle soit ouverte aux monde occidental en parlant le français ou l’anglais, elle reste fidĂšle Ă  sa langue maternelle, elle prend soin de l’apprendre Ă  ses enfants. CotĂ© vestimentaire; porter un jean ou un tailleur ne l’a pas laissĂ© abandonner son djellaba. Au dressing, le caftan cĂŽtoie sa robe soirĂ©e. Elle rĂ©ussit Ă  mettre en Ă©vidence sa beautĂ© dans le confort et l’élĂ©gance de l’un et la splendeur et le sublime de l’autre. Retrouver son Ă©quilibre entre le moderne et le traditionnel est une preuve de rĂ©ussite chez la femme marocaine; si elle fĂȘte le nouvel an entre famille ou amis, elle prend soin de fĂȘter l’Aid El kebir et L’Aid Sghir avec fiertĂ© et amour. Femme moderne RĂ©cemment, la vision de la femme a changĂ©, son rĂŽle ne se limite plus Ă  garder ses enfants et satisfaire les besoins de son mari, ses aspirations sont plus grandes, elle n’accepte plus qu’elle soit l’ĂȘtre second. Elle cherche sa place dans la sociĂ©tĂ©, ainsi elle commence Ă  s’organiser dans des associations, s’éduquer et Ă  crĂ©er son espace de libertĂ© afin de lutter pour l’obtention de ses propres droits. Nombreux sont les dossiers qui dĂ©rangent encore la femme dans sa dĂ©marche vers une vie honorable. Le phĂ©nomĂšne du mariage des mineurs, est toujours une rĂ©alitĂ© qui continue de prendre de l’ampleur au Maroc, et d’engendrer des dĂ©gĂąts sociaux irrĂ©mĂ©diables. La femme marocaine continue sa lutte contre toutes les formes de violence qu’elle subit soit dans sa vie conjugale, professionnelle ou en tant que genre fĂ©minin comme l’harcĂšlement sexuel ou l’agression sexuel. Le chemin est encore long pour que la femme au Maroc obtienne ses droits et acquiert la place qu’elle mĂ©rite qu’elle soit dans la ville ou dans la campagne, sa contribution dans la sociĂ©tĂ© est aussi grande que son don et sa gĂ©nĂ©rositĂ© naturelle qui la font vivre en parfaite harmonie entre modernitĂ© et traditions.
Ilen rĂ©sulte qu'elle se contentait de cette situation qu'elle avait dĂ©jĂ  acceptĂ©e et apprĂ©hendĂ©e depuis son plus jeune age . Par contre, la femme aujourd'hui est tout Ă  Download Skip this Video Loading SlideShow in 5 Seconds.. La Femme Marocaine Hier & Aujourd’hui PowerPoint Presentation La Femme Marocaine Hier & Aujourd’hui. La pĂ©riode Coloniale 1912-1956. l’Union des Femmes du Maroc ». LiĂ©e au Parti Communiste, l’Association des SƓurs de la PuretĂ© » proche du Parti DĂ©mocratique de l’IndĂ©pendance PDI. La pĂ©riode PostindĂ©pendance 1956-1969. Uploaded on Aug 17, 2014 Download PresentationLa Femme Marocaine Hier & Aujourd’hui - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - E N D - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - Presentation Transcript La Femme Marocaine Hier&Aujourd’huiLa pĂ©riode Coloniale 1912-1956 ‱ l’Union des Femmes du Maroc ». LiĂ©e au Parti Communiste, ‱ l’Association des SƓurs de la PuretĂ© » proche du Parti DĂ©mocratique de l’IndĂ©pendance PDILa pĂ©riode PostindĂ©pendance1956-1969 En 1957/58, un code du Statut personnel Moudawana a Ă©tĂ© créé. Ce code Ă©tait inĂ©galitaire et basĂ© sur une interprĂ©tation trĂšs orthodoxe du Coran. L'homme y est dĂ©fini comme le chef de la famille et supĂ©rieur Ă  la femme, tandis que la femme a Ă©tĂ© dĂ©clarĂ©e comme mineure sous la tutelle d'un homme. Ces restrictions juridiques ont empĂȘchĂ© les femmes de demander le divorce, de conserver la garde des enfants en cas de divorce, ou l’obtention d’un hĂ©ritage n'y avait pas d'Ăąge lĂ©gal minimum pour le mariage. ‱ La femme ne donnait pas son consentement au mariage. ‱ La polygamie Ă©tait lĂ©gale. ‱ Un homme pouvait mettre un terme au mariage Ă  volontĂ© en rĂ©pudiant » sa femme sans procĂ©dure juridique. ‱ La femme devrait avoir la permission d’un homme pour obtenir un passeport ou commencer un commerce. La dĂ©cennie 1970 ‱ Le climat politique a enregistrĂ© une ouverture relative et une plus grande libertĂ© d’expression. ‱ Plus d’associations socioprofessionnelles sont apparues. ‱ La rĂ©vision de la Moudawana est restĂ©e une question ambigĂŒe, mais la question du statut juridique et la reprĂ©sentation des femmes dans les postes de responsabilitĂ©s Ă©taient dĂ©cennie 1980 ‱ Les femmes ont commencĂ© Ă  constater, Ă  rĂ©flĂ©chir et Ă  dĂ©noncer elles-mĂȘmes la condition fĂ©minine alors que durant la pĂ©riode prĂ©cĂ©dente les voix fĂ©minines Ă©taient guidĂ©es par l’écriture masculine. ‱ Une relecture de l’histoire de l’Islam Ă  partir d’une perspective fĂ©ministe mettant en valeur la tradition progressiste et Ă©galitaire du ProphĂšte. ‱ La dimension rĂ©gionale, dĂ©cennie 1990 Quelques mobilisations importantes ont obtenu un succĂšs modĂ©rĂ© dans la rĂ©forme de la Moudawana. L'une des activitĂ©s les plus importantes Ă  l'Ă©poque Ă©tait la campagne un million de signatures », qui soutenait une pĂ©tition en faveur de la rĂ©forme de la Moudawana. La pĂ©tition a Ă©tĂ© un grand succĂšs et a illustrĂ© le soutien important du Nouveau Roi; Nouveau chapitre Comment espĂ©rer assurer progrĂšs et prospĂ©ritĂ© Ă  une sociĂ©tĂ© alors que ses femmes, qui en constituent la moitiĂ©, voient leurs droits bafouĂ©s »Un nouveau Code de la Famille RedĂ©finition du Mariage Le mariage est un pacte fondĂ© sur le consentement mutuel en vue d’établir une union lĂ©gale et durable entre un homme et une femme. Il a pour but la vie dans une fidĂ©litĂ© rĂ©ciproque, la puretĂ© et la fondation d’une famille stable sous la direction des deux Ă©poux, conformĂ©ment aux dispositions du prĂ©sent Code ».L'Ăąge du mariage l'Ăąge du mariage est uniformĂ©ment fixĂ© Ă  18 divorce Le divorce est dĂ©fini comme une dissolution des liens du mariage que le mari et l'Ă©pouse exercent, sous contrĂŽle judiciaire, selon des conditions lĂ©gales propres Ă  chacun d'entre Acquis Le nouveau code introduit la possibilitĂ© pour les Ă©poux de se mettre d’accord. En cas de dĂ©saccord, ils devront recourir au juge qui se basera sur les conditions gĂ©nĂ©rales de preuve afin d’évaluer la contribution de chacun des deux Ă©poux aux biens acquis durant le polygamie La polygamie est dĂ©sormais soumise Ă  l'autorisation du juge et Ă  des conditions lĂ©gales draconiennes qui la rendent presque » impossible. La Population Marocaine Ă  L’étranger. L’acte de mariage doit ĂȘtre Ă©tabli en prĂ©sence de deux tĂ©moins musulmans et en conformitĂ© aves les procĂ©dures en cours dans le pays d’accueil, puis enregistrĂ© par les services consulaires ou judicaires nationaux. À l’aube de l’indĂ©pendance, la scolarisation des filles est restĂ©e un phĂ©nomĂšne citadin. Le monde rural n’a pas enregistrĂ© la mĂȘme tendance progressive, surtout, en ce qui concerne les L’éloignement des Ă©tablissements scolaires - Les Ă©tablissements scolaires ne rĂ©pondent pas aux normes sans clĂŽture, non raccordĂ© au rĂ©seau d’eau potable, ou rĂ©seau d’électricitĂ©. - l’absence ou la non-adĂ©quation des structures sanitaires pour les filles en milieu scolaire. - les horaires scolaires inadaptĂ©s aux conditions sociales et gĂ©ographiques du milieu. - l’absence de soutien moral et financier. - l’insĂ©curitĂ© et les violences Ă  l’égard des filles en milieu scolaire et pĂ©riscolaire. Les causes suspectĂ©es ‱ PauvretĂ© ‱ Manque ou insuffisance de suivi prĂ©natal ‱ Accouchements non assistĂ©s par des professionnels qualifiĂ©s ‱ AnalphabĂ©tisme et ignorance ‱ DifficultĂ©s d’accĂšs ‱ Accueil dĂ©sobligeant ‱ Corruption ‱ Manque de suivi ‱ de votre attention
21ÙÙŠÙŰ±ÙŠ 2013. #1. Femme Traditionnelle, Femme d’aujourd’hui. . La Femme depuis le commencement des temps a toujours Ă©tĂ© le berceau de la vie, sans elle, le
AprĂšs le coup mĂ©diatique organisĂ© par le Chinese Business Club invitant Ă  Paris Sophie Marceau comme Guest star » de la journĂ©e de la femme le 8 Mars 2016, on pourrait croire que notre actrice serait la vedette française de la Chine. Des hommes chinois peut-ĂȘtre, mais pour les femmes je pencherais plutĂŽt pour la styliste Stella Mc Cartney dont les chaussures Ă  plateforme font fureur dans les grandes villes. femme dans la Chine Qu’elles soient Ă  100 euros ou Ă  650, vraies ou fausses, elles se retrouvent aux pieds d’un bon nombre de femmes chinoises rĂȘvant de ressembler Ă  nos icones de mode. A l’instar du communisme russe, le communisme chinois a donnĂ© des droits aux femmes identiques Ă  ceux des hommes. femme dans la Chine Celui de travailler, de divorcer, d’ĂȘtre indĂ©pendante mais certainement pas celui d’ĂȘtre fĂ©minine et doser le montrer. On retrouve dans ces deux pays la joie de se vĂȘtir comme un mannequin, d apprĂ©cier sa fĂ©minitĂ© mais aussi les deux rĂȘves communs et antinomiques, celui d’épouser un homme riche ou d’ĂȘtre une femme libre et indĂ©pendante. Mon dernier voyage dans ce pays organisĂ© pour la journĂ©e de la Femme a confirmĂ© encore une fois combien il est difficile de parler des femmes tant sont nombreuses les facettes et les styles des femmes chinoises. Comme le dĂ©crivent Tania Angeloff et MarylĂšne Liebern dans Chinoises au XXIĂšme siĂšcle »*, quoi de commun entre la paysanne restĂ©e Ă  la terre et qui est dĂ©pendante de l’économie familiale, la jeune rurale qui en devenant ouvriĂšre dans une usine gagne un peu d’indĂ©pendance financiĂšre, mais un peu moins que celle qui devient domestique dans une ville, et la jeune urbaine qui entre Ă  l’universitĂ© ou la citadine diplĂŽmĂ©e soutenue par sa famille. Et que dire de la femme chinoise dirigeant un club d’affaires de renom m’avouant sa difficultĂ© Ă  ĂȘtre une bonne mĂšre ! Outre les diffĂ©rences sociales, il y aussi les diffĂ©rences gĂ©ographiques Ă  l’inverse de notre culture europĂ©enne le Sud y est plus Ă©galitaire alors que le Nord traditionnel empĂȘchera toujours un homme de faire la cuisine. Pour le moment en tous les cas. Une pression sociale trĂšs forte, des traditions ancrĂ©es dans la sociĂ©tĂ© contemporaine femme dans la Chine Il y a de multiples façons d’ĂȘtre une femme en Chine et l’on voit dans ces diffĂ©rences les contradictions de ce pays. La campagne oĂč la femme travaille autant que l’homme peut envoyer une gamine se marier pour de l’argent lorsque la pauvretĂ© atteint un stade insupportable. Celles qui s’en sortent seront heureuses de devenir la Ayi » femme de mĂ©nage d’une famille. La jeune Ă©tudiante de Chengdu, la capitale du Sichuan, 9 millions d’habitants, magasins ouverts jusqu’à 22 heures le soir, rĂȘve de libertĂ©. Celle que ses parents poussent Ă  ĂȘtre la premiĂšre de l’UniversitĂ© de Shanghai sait qu’elle devra avant 30 ans, trouver un job et un bon mari, puis faire un enfant, puis s’occuper de ses parents et beaux-parents. Alors faire un deuxiĂšme enfant comme le gouvernement le permet maintenant, n’est franchement pas Ă  l’ordre du jour des jeunes couples qui ne voient dĂ©jĂ  pas comment acquĂ©rir tous les objets dont ils rĂȘvent avec un enfant ; Alors avec deux ! Et puis Ă  l’extrĂȘme bout de l’échelle, il y a Zhang Xin, la prĂ©sidente de Soho, groupe immobilier de Shanghai, que l’on retrouve dans les Women’s Forums » et qui est le rĂŽle modĂšle qui permet Ă  certains de dire que l’égalitĂ© entre les femmes et les hommes existent en Chine. Certes si elles acceptent de tout faire, les femmes peuvent rĂ©ussir lĂ  ou les françaises n’arrivent que difficilement, tout en haut de la pyramide. Mais j’ai aussi rencontrĂ© durant mon voyage des activistes qui oseront dire que ce pays traditionnaliste et paternaliste depuis des millĂ©naires n’a pas changĂ© et que les riches chinois ont toujours des maitresses comme au temps de la cour impĂ©riale. Avec une hiĂ©rarchie trĂšs chinoise. femme dans la Chine Ce pays, comme tant d’autres, voit sa population vieillir et la politique du second enfant est l’une des rĂ©ponses Ă  cette question Ă©conomique. Sauf qu’en Chine selon le China Daily du 9 mars 2016 Ă©lever un enfant coĂ»te en moyenne 91 800 dollars. Alors pour beaucoup, un enfant cela suffit. Certaines jeunes femmes me feront remarquer qu’il est dĂ©jĂ  difficile d’ĂȘtre enceinte une fois dans une entreprise, alors deux seraient trop discriminantes. Aujourd’hui la force de travail chinoise comprise entre 15 et 59 ans compte 700 millions de personnes, elle en comptera 940 millions en 2050. Ce qui sera insuffisant. La population touchera un pic en 2030 avec 1 milliard 45 personnes pour alors commencer Ă  baisser. La gĂ©nĂ©ration Y voire Z voudrait bien changer la sociĂ©tĂ© chinoise et ses traditions L’égalitĂ© entre les femmes et les hommes existe nĂ©anmoins pour certaines femmes si elles sont aidĂ©es et qu’elles acceptent de travailler beaucoup. Comme tous les chinois d’ailleurs. Dans l’UniversitĂ© de Chengdu, lorsque je termine mon dĂ©bat il est 20h30 et tous les Ă©tudiants sont encore en train de travailler dans les salles de classe. Cette gĂ©nĂ©ration de 20 Ă  23 ans se pose les mĂȘmes questions que les jeunes europĂ©ens mais ils savent d’ores et dĂ©jĂ  que leur environnement est et reste plus difficile. Pourtant leur volontĂ© de changer la sociĂ©tĂ© est bel et bien lĂ . Mais comment faire face Ă  cette pression dans un environnement oĂč l’argent est roi et oĂč l’harmonie doit ĂȘtre respectĂ©e avant tout. Mon voyage en Chine me dĂ©montre que cette gĂ©nĂ©ration a grandi dans l’égalitĂ© et les questions des garçons sont aussi pertinentes que celles des filles. Cette gĂ©nĂ©ration prĂ©figure t’elle les changements qui arriveront forcĂ©ment dans un pays oĂč la nĂ©cessitĂ© Ă©conomique pourrait faire pression vers une Ă©galitĂ© professionnelle en attendant une Ă©galitĂ© rĂ©elle ? * Chinoises au XXIĂš siĂšcle ruptures et continuitĂ©s » sous la direction de Tania Angeloff et MarylĂšne Lieber. Edition La DĂ©couverte
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