367amis; 389 favoris; 3 101 kiffs. Tags. ARTE; arte; capitalisme; chronique; crise; Documentaire; documentaire; enquĂȘte; film

Ce film est un voyage au royaume de l’argent sale. De la Calabre Ă  Londres, de la Suisse Ă  l’Allemagne, le rĂ©alisateur part sur les traces de cet argent que l’on ne voit pas et dont on ne parle pas. Depuis plus de dix ans, toutes les Ă©nergies semblent tournĂ©es vers la lutte contre le terrorisme. Alors qu’une autre gĂ©opolitique se dessine, celle du crime organisĂ© transnational, peut-ĂȘtre le grand dĂ©fi du XXIe siĂšcle. Une question se pose n’est-il pas dĂ©jĂ  trop tard ? L’argent sale n’est-il pas devenu indispensable Ă  la marche du monde ? PrĂ©sentationde L'argent sale, le poison de la finance, qui concourt dans la "CompĂ©tition internationale de + de 40 minutes", un documentaire diffusĂ© le 11 septembre dernier, sur France 5
Par Euronews avec AFP ‱ Mise Ă  jour 22/09/2020 HSBC, Deutsche Bank, ING... Ces grands noms de la finance Ă©taient fortement malmenĂ©s en Bourse lundi, aprĂšs les rĂ©vĂ©lations d'un consortium de journalistes qui accusent ces gĂ©ants bancaires d'avoir permis le blanchiment d'argent sale Ă  grande Francfort, Deutsche Bank plongeait de 7,86% Ă  7,93 euros vers 13h20 CET aprĂšs la publication de cette enquĂȘte la visant. Standard Chartered, Ă©galement sous le feu des projecteurs, lĂąchait de son cĂŽtĂ© 5,15% Ă  340,90 pence Ă  Hong Kong, l'action HSBC a touchĂ© son plus bas niveau depuis 25 ans, clĂŽturant en chute de 5,33% Ă  29,30 HKD. Outre le fait que le groupe a Ă©tĂ© citĂ© par l'enquĂȘte du consortium de journalistes, il pourrait essuyer des sanctions de PĂ©kin dans le cadre de mesures de reprĂ©sailles contre certains pays son enquĂȘte menĂ©e par 108 mĂ©dias internationaux, de 88 pays, le Consortium international des journalistes d'investigation ICIJ, dĂ©nonce les carences de la rĂ©gulation du sale"Les profits des guerres meurtriĂšres contre la drogue, des fortunes dĂ©tournĂ©es des pays en dĂ©veloppement et des Ă©conomies durement gagnĂ©es volĂ©es dans le cadre d'une pyramide de Ponzi ont tous pu entrer et sortir de ces institutions financiĂšres, malgrĂ© les avertissements des propres employĂ©s des banques", dĂ©taille l' est fondĂ©e sur des milliers de "rapports d'activitĂ© suspecte" SAR en anglais adressĂ©s aux services de la police financiĂšre du TrĂ©sor amĂ©ricain, FinCen, par des banques du monde entier, mais "gardĂ©s hors de la vue du public". Selon l'ICIJ, des montants astronomiques d'argent sale ont transitĂ© durant des annĂ©es par les plus grandes institutions bancaires du pointe notamment du doigt cinq grandes banques, JPMorgan Chase, HSBC, Standard Chartered, Deutsche Bank, et Bank of New York Mellon, accusĂ©es d'avoir continuĂ© Ă  faire transiter des capitaux de criminels prĂ©sumĂ©s, et ce mĂȘme aprĂšs avoir Ă©tĂ© poursuivies ou condamnĂ©es pour faute rĂ©volusHSBC s'est dĂ©fendue en rĂ©pondant aux journalistes qu'elle avait toujours respectĂ© ses obligations lĂ©gales sur le signalement des activitĂ©s un communiquĂ©, elle prĂ©sente les accusations de l'ICIJ comme anciennes et antĂ©rieures Ă  un accord conclu sur le sujet en 2012 avec le dĂ©partement amĂ©ricain de la Justice. La banque dit avoir depuis lors revu ses capacitĂ©s Ă  lutter contre la criminalitĂ© financiĂšre dans plus de 60 juridictions, se prĂ©sentant comme "une institution beaucoup plus sĂ»re qu'elle ne l'Ă©tait en 2012".Dans un communiquĂ©, Deutsche Bank a assurĂ© que les rĂ©vĂ©lations du Consortium Ă©taient en fait des informations "bien connues" de ses rĂ©gulateurs et a dit avoir "consacrĂ© d'importantes ressources au renforcement de ses contrĂŽles" et "ĂȘtre extrĂȘmement attentive au respect de ses responsabilitĂ©s et de ses obligations".ING a pour sa part affirmĂ© qu'elle avait cessĂ© sa relation en 2018 avec une des entreprises incriminĂ©es pour avoir collaborĂ© avec sa filiale polonaise, et qu'elle s'apprĂȘtait Ă  en faire de mĂȘme avec la seconde.
LedĂ©veloppement malade des finances Aujourd’hui, les finances sont un poison, dont les principales victimes sont les plus pauvres, individus ou pays. SpĂ©culation dans le logement, spĂ©culation dans l’alimentation, spĂ©culation dans le travail, etc., le dĂ©veloppement est malade Ă  cause de la prioritĂ© donnĂ©e Ă  la finance dans tous les domaines Ă©conomiques. Les impĂŽts ou la banqueroute ! » L’auteur de la Lettre Ă  un crĂ©ancier de l’État, publiĂ©e en 1787 Ă  Londres, rĂ©sume ainsi l’alternative Ă  laquelle la France semble ĂȘtre acculĂ©e. Inquiet de l’avenir de son royaume, il Ă©voque ensuite amĂšrement la maniĂšre dont l’Angleterre, elle aussi en forte difficultĂ©, semble pourtant de son cĂŽtĂ© Ă©chapper au pire soutenant une dette nationale plus forte [
], rĂ©partie sur une population deux fois moins nombreuse », les Anglais auraient en effet trouvĂ© le secret, avec un sol moins fertile et des ressources moins variĂ©es, d’acquitter annuellement une partie de leurs dettes ». MĂȘme s’il est exagĂ©rĂ©, ce parallĂšle peu flatteur rĂ©vĂšle une rĂ©alitĂ© Ă  la fin du 18e siĂšcle, la dette est devenue le poison de l’État français, hantant les ministres et nourrissant la contestation du rĂ©gime. En 1788, la dette reprĂ©sente quelque 4 milliards de livres, soit environ 80 % de la richesse du royaume. Sa rĂ©sorption obsĂšde les contrĂŽleurs gĂ©nĂ©raux des Finances depuis les annĂ©es 1770. En effet, si tout s’est accĂ©lĂ©rĂ© au dĂ©but des annĂ©es 1780, le mal vient de plus loin. Comme ce qui s’est passĂ© Ă  la fin du rĂšgne de Louis XIV, les guerres ont considĂ©rablement creusĂ© le TrĂ©sor royal. Mais elles sont bien plus onĂ©reuses qu’au 17e siĂšcle. Le monde des EuropĂ©ens s’est dilatĂ©, et leurs empires s’étendent dĂ©sormais de l’Inde Ă  l’AmĂ©rique, demandant d’entretenir des troupes dans des territoires trĂšs Ă©loignĂ©s, mais aussi d’armer de dispendieuses marines de guerre. DĂ©sormais, la puissance passe clairement par la maĂźtrise des mers. C’est durant la guerre de Sept Ans 1756-1763 que cette nouvelle donne Ă©clate au grand jour. PremiĂšre Ă  ĂȘtre menĂ©e de front sur presque tous les continents, elle laisse les États europĂ©ens totalement exsangues. L’Angleterre se rĂ©sout Ă  signer la paix pour Ă©viter de creuser encore les dĂ©penses, avant de mener de sĂ©vĂšres rĂ©formes fiscales qui, Ă  peine plus tard, lanceront les colonies d’AmĂ©rique dans la rĂ©volution. Mais la France est plus profondĂ©ment touchĂ©e. L’intervention dans la guerre d’IndĂ©pendance amĂ©ricaine 1775 - 1782 ne fera qu’aggraver le dĂ©sĂ©quilibre des finances, d’autant que jamais le royaume ne tirera les bĂ©nĂ©fices commerciaux escomptĂ©s en rĂ©compense de son soutien aux Insurgents. Si elle affaiblit l’Angleterre, la guerre coĂ»te 1 milliard de plus, sans vĂ©ritable contrepartie. Pendant plus de 20 ans, de 1763 Ă  1787, et sous l’impulsion de ceux que l’on appelle les physiocrates, les tentatives de rĂ©forme se succĂšdent Ă  marche forcĂ©e, se heurtant aux rĂ©sistances des Ă©lites privilĂ©giĂ©es, arc-boutĂ©es sur les exemptions fiscales, mais aussi au blocage des parlements, opposĂ©s Ă  toute nouvelle levĂ©e autoritaire, et enfin Ă  l’opposition des classes populaires, qui supportent l’essentiel de l’effort. DÉJÀ, LES TAUX D'INTÉRÊT
 Souvent citĂ©es comme la principale cause de la probable banqueroute de l’État, les guerres ne rĂ©vĂšlent pourtant que le blocage du systĂšme politique, financier et budgĂ©taire de la monarchie absolue, bien plus complexe, rigide et contradictoire que celui de son voisin d’outre-Manche. Structurellement, le budget courant ne permet pas de rĂ©sorber la dette alors que les recettes annuel­les du royaume ne dĂ©passent pas 500 millions, les dĂ©penses ordinaires s’envolent Ă  630 millions de livres tournois. Cette gravure montre le niveau d’exaspĂ©ration que connaĂźt le tiers Ă©tat et particuliĂšrement la paysannerie Ă  la fin du 18e DE Gravure de 1789 - Auteur inconnuD’oĂč vient ce dĂ©ficit ? De la guerre, donc, mais pas seulement, car celle-ci n’occasionne que des dĂ©penses extraordinaires. Le dĂ©ficit vient de la somme des emprunts contractĂ©s par l’État depuis les annĂ©es 1760. Or, le royaume de France doit payer des taux d’intĂ©rĂȘt presque deux fois supĂ©rieurs Ă  ceux de sa rivale, l’Angleterre. La ­chertĂ© du crĂ©dit accordĂ© Ă  la France peut surprendre. N’est-elle pas alors la premiĂšre puissance fiscale en Europe ? Les revenus de l’impĂŽt n’excĂšdent-ils pas d’un tiers ceux de l’Angleterre ? D’autre part, les prĂȘteurs Ă©trangers n’ignorent pas qu’en France la concentration des recettes fiscales dans les mains des officiers appelĂ©s receveurs » et fermiers gĂ©nĂ©raux », chargĂ©s de lever les impĂŽts, garantit l’efficacitĂ© de la gestion du TrĂ©sor. Au 18e siĂšcle, alors que l’État royal Ă©choue Ă  plusieurs reprises Ă  inventer de nouvelles institutions de crĂ©dit pour Ă©chapper aux prĂȘteurs Ă©trangers la banqueroute de John Law en 1720 en est l’épisode le plus spectaculaire, ce sont ces officiers qui traitent avec les banquiers. GrĂące Ă  cette association, la crĂ©ation d’une Caisse d’escompte en 1776, dont le capital est financĂ© par souscription, doit permettre de racheter les emprunts publics et de faire baisser leurs taux d’intĂ©rĂȘt. Mais le rachat Ă  lui seul coĂ»te cher. Et le TrĂ©sor, lui-mĂȘme souscripteur, s’endette encore. MalgrĂ© plusieurs rĂ©formes et un dĂ©but de succĂšs, cette Caisse d’escompte se verra liquidĂ©e en 1793. Au-delĂ  de la guerre, l’impasse financiĂšre est liĂ©e aux blocages de la sociĂ©tĂ© d’ordres. Incapable de rĂ©former un systĂšme d’imposition pas nĂ©cessairement plus lourd, mais plus hĂ©tĂ©roclite, cloisonnĂ© et mal acceptĂ© que ceux de ses voisins europĂ©ens, le roi ne parvient pas Ă  augmenter les recettes de l’État ni Ă  rassurer les prĂȘteurs. Ce qui, par contrecoup, continue d’alimenter le haut niveau des taux d’intĂ©rĂȘt. Pour y rĂ©ussir, il aurait sans doute fallu du temps. Il aurait aussi surtout fallu pouvoir rassurer en communiquant publiquement la rĂ©alitĂ© des finances du pays. Il aurait enfin fallu pouvoir associer Ă  ces rĂ©formes une part plus importante de la nation. Or, cela, le fonctionnement du royaume de France ne le permet pas. LES PARASITES DÉNONCÉS Alors qu’en Angleterre le Parlement joue un rĂŽle actif dans la surveillance et la publicitĂ© des finances publiques, les comptes de la nation demeurent opaques en France, faisant l’objet de mille rumeurs, inspirant de fausses informations que les opposants Ă  Louis XVI utilisent comme autant d’armes pour discrĂ©diter – politiquement cette fois – le rĂ©gime. En 1781, lorsque Necker fait paraĂźtre illĂ©galement les comptes de l’État dans son Compte-Rendu au Roi, il provoque un scandale qui lui coĂ»tera sa place publiĂ© pour rassurer les investisseurs sur le caractĂšre exceptionnel des dĂ©penses liĂ©es Ă  la guerre d’IndĂ©pendance amĂ©ricaine, l’ouvrage dĂ©voile maladroitement la longue liste des nobles touchant des pensions du roi, grevant ainsi le budget de l’État et aussitĂŽt dĂ©noncĂ©s comme de vĂ©ritables parasites. Six ans plus tard, en 1787, en partie convoquĂ©e pour rĂ©soudre le problĂšme de la dette, l’AssemblĂ©e des notables 1787-1788 se heurte au front des privilĂ©giĂ©s, qui refusent de contribuer Ă  l’effort fiscal. En mai 1789, dans un contexte de rumeurs contradictoires sur l’ampleur rĂ©elle de la dette, c’est sous la menace d’une banqueroute imminente que sont rĂ©unis les dĂ©putĂ©s des trois ordres du royaume aux États gĂ©nĂ©raux, seule assemblĂ©e habilitĂ©e Ă  voter une ample rĂ©forme fiscale. Cette urgence, les Ă©lus du tiers-Ă©tat vont la renverser Ă  leur profit refusant de dĂ©libĂ©rer dans les cadres de l’Ancien RĂ©gime, ils provoquent en quelques semaines la chute d’une monarchie aux abois. AjoutĂ©s Ă  la guerre et Ă  la guerre civile qui accompagneront la dĂ©cennie rĂ©volutionnaire des annĂ©es 1790, l’effondrement et la dĂ©sorganisation de l’État n’arrangeront ensuite rien Ă  la dette publique. Mais la RĂ©volution posera les bases d’un contrĂŽle parlementaire, d’une publicitĂ© et d’une plus grande transparence des finances publiques, de mĂȘme qu’elle mettra fin au systĂšme fiscal de l’Ancien rĂ©gime, fondĂ© sur le privilĂšge.
\nargent sale le poison de la finance
AvecLes oiseaux aux plumes de cristal, nous ferons une rĂ©flexion sur le projet d’établissement de la Zone de libre-Ă©change des AmĂ©riques (ZLEA) tout en amorçant une incursion, dans le monde sans frontiĂšres de l’inĂ©galitĂ©, de l’exclusion et de la pauvretĂ©. Tableau des prix. Type; Prix A; Prix B; DVD; 235.00 $ 90.00 $ DVD Prix A: institutions GĂ©ostratĂ©gie du crime. Que font les dĂ©mocraties face Ă  la criminalitĂ© organisĂ©e ? Par , Jean-François GAYRAUD, Marie-France CHATIN, le 8 septembre 2012 Jean-François Gayraud, commissaire divisionnaire de la Police Nationale en poste au Conseil SupĂ©rieur de la Formation et de la Recherche StratĂ©gique. SpĂ©cialiste des phĂ©nomĂšnes criminels. François Thual, spĂ©cialiste de gĂ©opolitique. Co-auteurs de GĂ©ostratĂ©gie du crime, Paris, Odile Jacob, 2012 Audio gĂ©opolitique. Que sait-on du poids de l’argent sale dans l’économie mondiale ? Quels sont les vrais dangers de demain ? Comment les empires criminels se constituent-ils menaçant l’équilibre des Etats ? La survie de nos dĂ©mocraties est-elle en jeu ? UNE Ă©mission de Radio France Internationale GĂ©opolitique, le dĂ©bat, diffusĂ©e le 8 septembre 2012, sous le titre " Regard sur le monde d’aujourd’hui avec la criminologie comme clef de lecture ". Ecouter la premiĂšre partie, sur le site de RFI Ecouter la deuxiĂšme partie, sur le site de RFI Plus . Voir sur le un photo-reportage dans le studio de RFI GĂ©opolitique le dĂ©bat . GĂ©opolitique, le dĂ©bat, les Ă©missions les plus rĂ©centes Voir Vous aussi, construisez le Diploweb ! Tweets de diploweb

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PubliĂ© le 12/04/2014 Ă  1448 C’est l’information insolite du week-end Ă  Hollywood Le Loup de Wall Street de Martin Scorsese, dans lequel Leonardo Di Caprio campe un trader qui s’enrichit de façon douteuse, aurait lui-mĂȘme Ă©tĂ© financĂ© par de la corruption. The Hollywood Reporter rĂ©vĂšle en effet que deux producteurs amĂ©ricains, Brad Krevoy et Steve Stabler, ont dĂ©posĂ© une plainte auprĂšs d’un tribunal de Los Angeles, accusant la sociĂ©tĂ© de production du film d’avoir utilisĂ© de l’argent issu de dĂ©tournements ou de corruption de fonds, et de vols. Cette sociĂ©tĂ© de production, nommĂ©e Red Granite, est dirigĂ©e par Joey McFarland et Riza Aziz, le beau-fils du Premier ministre malaisien, et financĂ©e grĂące Ă  de l’argent provenant principalement de l'Asie et du Moyen-Orient. Les transactions ont Ă©tĂ© conçues pour dissimuler la nature, l'emplacement, la source, la propriĂ©tĂ© ou le contrĂŽle des recettes de ces activitĂ©s illĂ©gales », accusent Brad Krevoy et Steve Stabler. Ces fonds mal acquis investis dans Red Granite auraient servi dans de nombreuses transactions financiĂšres aux Etats-Unis, dont le financement du Loup de Wall Street et le financement sĂ©parĂ© de Dumb and Dumber To la suite de Dumb and Dumber, ndlr ». Dans un communiquĂ©, Red Granite a de son cĂŽtĂ© dĂ©noncĂ© des allĂ©gations fausses, malveillantes et sans fondement » aprĂšs la plainte dĂ©posĂ©e par Brad Krevoy et Steve Stabler. Mais les accusations de corruption autour du carton de Martin Scorsese ne sont pas nouvelles. De rĂ©centes rĂ©vĂ©lations sur sa fortune personnelle ont Ă©galement privĂ© le producteur Riza Aziz d’invitation Ă  la derniĂšre cĂ©rĂ©monie des Oscars.

Lachasse aux phoques a fait l’objet d’une lutte acharnĂ©e de groupes animalistes depuis les annĂ©es 1960 et leurs arguments ont trouvĂ© Ă©cho chez de nombreuses vedettes, depuis Brigitte Bardot jusqu’à Paul McCartney. Pour la premiĂšre fois depuis le dĂ©but de cette controverse, les chasseurs de phoques des Îles de la Madeleine se livrent Ă  la camĂ©ra.

Largent sale, le poison de la finance Avis des internautes (10) Infos Diffusions Casting Résumé Voyage au royaume de l'argent sale. De la Calabre à Londres, de la Suisse à

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