🦓 Ceremonie Remise Medaille Ordre National Du Merite

Les insignes lui ont été remis par le colonel Jean-François Sauné, ancien chef de corps du groupement recrutement sélection de la Région Terre Île de France et lui-même chevalier dans l’ordre national du Mérite mais surtout qui est son frère aîné. La cérémonie a eu lieu sur le site des foyers du Val d’Yèvre du Gedhif 18, à Saint-Doulchard. Philippe Sauné a obtenu une licence en droit avant d’effectuer un long parcours professionnel dans la grande distribution. Puis j’ai eu envie de trouver un sens à ce que je faisais et j’ai suivi une formation pour intégrer le Gedhif comme directeur d’établissements des foyers en 2008 et devenir directeur générale à la place de Vincent Fonsagrive ». Gérard Depond, président du Gedhif 18 a tracé les traits de caractère du récipiendaire Votre rigueur militaire, la capacité de vous effacer, votre esprit d’équipe, votre écoute bienveillante, la bonne gestion de l’argent public. Vous êtes un altruiste doté d’empathie mais vous savez aussi dire non », a-t-il notamment indiqué. La médaille accrochée par son frère avait une saveur particulière.

Nommé Chevalier dans l’Ordre National du Mérite » par décret du Président de la République en date du 31 décembre 2020, Marcel CHEVALLIER, Beynois depuis 47 ans a ce jour été admis dans l’Ordre National du Mérite par Monsieur Pascal VINCHON, Général de corps aérien, Commandeur dans l’Ordre de la Légion d’honneur et dans l’Ordre National du Mérite. Une haute distinction qui lui a été remise, lors de la commémoration du 18 juin, en présence de Madame la Sénatrice, Antoinette BOURRAT, en représentation de Monsieur le Président du Sénat, Gérard LARCHER, de Madame la Députée, Florence GRANJUS, du maire de Beynes Monsieur Yves REVEL Un parcours exemplaire salué par tousPlus avant, et plus modestement, Marcel se souvient du jour où, alors adolescent, il avait reçu la médaille de bronze des apprentis décernée par l’Académie d’architecture. Déjà, quel honneur ! Il est monteur électricien en bâtiment lorsqu’au mois d’août 1960 il est appelé sous les drapeaux, dans l’Armée de l’Air. Affecté à la base aérienne de Sidi-Ahmed à Bizerte en Tunisie c’est à bord du BDC Argens, péniche de débarquement de chars, qu’il effectue la traversée. Après les 3 mois de classes de formation du soldat, il est affecté en qualité de mécanicien-fil installation et dépannage en téléphonie et télétypie à la BA 958, base radar implantée sur le Djebel Kébir qui contrôlait le détroit de Sicile et le Nord-Constantinois en mars 1961, il est désigné pour participer au Peloton des élèves gradés d’où il sort est nommé Caporal le 1er juin 1961 et Caporal-chef le 1er août. Entre temps va se dérouler ce qu’il est convenu d’appeler la Bataille de Bizerte ». Conservée par la France lors de l’indépendance de la Tunisie en 1956, la Base stratégique de Bizerte constitue l’un des piliers de la défense alliée en Méditerranée. A la mi-juin 1961, le Président Bourguiba en exige soudainement l’évacuation et l’armée tunisienne va faire le blocus des différentes bases et installations et ouvrir le feu le 19 juillet. Tout est dit dans le communiqué de l’Amiral AMMAN, commandant supérieur de la base stratégique de Bizerte Après avoir fait preuve d’une patience exemplaire, nos troupes de Terre, de Mer et de l’Air stationnées à Bizerte ou venues en renfort ont dû répondre aux coups qui leur étaient portés, sortir de leurs enceintes et engager le combat. Fraternellement unies, elles l’ont mené tambour battant jusqu’au succès final ».De courte durée mais particulièrement violente 27 tués dans nos rangs, plusieurs centaines du côté Tunisien ces combats ont valu à nos troupes d’être reconnues combattantes. Libéré des obligations légales 18 mois de service à l’époque Marcel est maintenu sous les drapeaux en disponibilité, et le 31 août 1962 il embarque sur le BDC Trieux péniche de déparquement de chars et arrive à Toulon le 2 septembre après 25 mois d’AFN qui lui vaudront plus tard l’attribution de la Médaille de Reconnaissance de la Nation » avec agrafe Afrique du nord, et de la médaille des Opérations de Sécurité et de Maintien de l’Ordre en AFN » avec agrafe Tunisie. Un mois plus tard, le 1er octobre 1962 il entre à l’école des Gardiens de la paix à Paris, ayant passé le concours d’entrée avant son départ pour l’Armée. Après 4 mois de formation, le 1er février 1963 il est affecté au service de protection du Palais de l’Elysée Général de Gaulle à l’époque avant de rejoindre le commissariat central du 6ème arrondissement le 1er mai suivant. Le 1er novembre 1964, sur sa demande il est muté aux Compagnies de Circulation Urbaines CCU qui pour lui, avec le baudrier blanc étaient la vitrine de la Police Parisienne, la PP. Quelques mois plus tard il intègre l’escouade mobile de la 2ème Compagnie plus spécialement chargée des services spéciaux tels l’éducation routière dans les écoles, la présence dans les stands de la Police dans les foires et salons, les voyages à l’étranger pour y représenter la Police française à ce titre délégué 8 jours en Suède en mai 1967. En septembre 1968, après les évènements, il se présente au concours de Brigadier et reçu, il sera affecté en janvier 1970 au Commissariat de Puteaux Hauts de Seine et sera de retour à la Circulation fin 1971 après être passé pendant un mois par le Centre National de Tir de la Police nationale d’où il sort diplômé Moniteur de tir. Spécialité qui lui servira plus tard… De 1973 à 1982 il est adjoint à l’Officier chef du bureau de commandement des est nommé Brigadier-chef en 1980 et reçoit la médaille d’honneur de la à 1988 il fait fonction au poste d’Officier technique. Il est responsable des missions d’éducation et de sécurité routière dans les écoles en relation avec le corps enseignant ce qui lui vaudra l’attribution des Palmes académiques pour services rendus à l’Education Nationale, de la médaille de bronze puis d’argent de La Prévention Routière ». Il gère également les équipes de contrôle radar sur la il est aussi Chef de bord de la voiture pilote des cortèges des hautes personnalités étrangères en visite officielle à et Souverains, il verra les plus grands de Reagan et de Busch à Gorbatchef, de la Reine des Pays-Bas et du Roi d’Espagne à celui de Jordanie en passant par les 1ers Ministres de Chine et du Japon, etc…Monsieur Von Weizsaecker, Président de la République fédérale d’Allemagne lui décerna la Médaille du Mérite fédéral lors de son séjour en novembre 1984. Le 1er mai 1988 répondant à un télégramme, il est muté sur sa demande à la Sous-direction de la Formation du personnel, plus spécialement au Centre national de tir où il sera en charge de la logistique et des moyens. Ayant quitté la Préfecture de Police, il aura le plaisir de recevoir la médaille d’argent de la Ville de Paris avec un diplôme signé du Maire, Jacques CHIRAC. Le 16 janvier 1993, jour de la St Marcel, il est admis à faire valoir ses droits à la mois plus tard, il est sollicité par la Ville de Levallois-Perret pour former et entrainer au tir les 70 Policiers municipaux. Pendant 15 ans, jusqu’en 2008, il aura formé plus de 150 fonctionnaires territoriaux à raison d’une journée par semaine. Jamais aucune bavure n’aura été signalée…La médaille d’Or de la Ville lui a été décernée pour le service aura le plaisir de revoir à Beynes une Policière municipale qu’il avait formée. Dans un autre domaine c’est le 11 novembre 1991, le jour où Jean IZARD alors Président de la Section lui remet la Croix du Combattant, que Marcel adhère à l’UNC Beynes. Intégrant le Conseil en 1993, il sera élu Président lors de l’AG du 11 février 1995, il y a 26 ans ! Au niveau départemental, il est élu au Conseil d’Administration en 1997, secrétaire départemental-adjoint en 1999, délégué de secteur en 2001 et secrétaire général en 2017. Membre de la Commission humanitaire il participe à une mission humanitaire au Sénégal en avril 2004 pour l’ouverture à Tambacounda d’un dispensaire destiné à nos anciens frères d’Armes les tirailleurs Sénégalais. C’est le 9 avril 2006, lors du congrès départemental de l’UNC Yvelines à Aubergenville que l’Ambassadeur du Sénégal en France lui remettra la médaille de l’Ordre du Mérite du Sénégal. De 2002 à 2020, Marcel fut également membre de la Commission Nationale de Législation combattante au siège de l’UNC à Paris. Il a reçu les médailles de Bronze, d’Argent, de Vermeil et d’Or du Mérite UNC et de la Croix du Djebel. Depuis 2015 il est membre du Conseil départemental de l’ONAC VG des Yvelines. Pour Beynes, il a milité pour que le Monument aux Morts soit déplacé du cimetière du Bourg à son emplacement actuel afin qu’il soit à la vue du public et pour une meilleure organisation des cérémonies et a fait apposer 3 plaques souvenir en hommage aux combattants morts pour la France en Indochine, en Afrique du nord et en Opérations extérieures. Il a fait en sorte que nous ayons une rue des Anciens combattants en AFN 1952/1962.Il est également à l’origine de la mise sous vitrine en Mairie du 1er drapeau de la Section créée en 1922 par les 14/18.de la restauration du Monument de la guerre 1870/1871 qui se trouve dans le la mise en place d’un drapeau au-dessus de la plaque qui se trouve à l’école Anatole France à la mémoire des Instituteurs de Seine-et-Oise morts pour la France » lors de la guerre 1914/1918 ».de la création du Rond-point des 5ème et 93ème RI » à l’intersection des Avenues Charles de Gaulle et du Général la création le 1er octobre 2005 du Comité local du Souvenir Français dont il est le Vice-Président, et a reçu de la délégation départementale les médailles de bronze, d’argent et de vermeil. Et c’est le dimanche 8 septembre 2019, à l’issue du Forum des associations, que Pour son engagement patriotique et de mémoire » Marcel recevait la très belle médaille portant les armoiries de Beynes.

Cematin les membres des associations patriotiques ont déposé des gerbes sur les 7 stèles du souvenir réparties dans Concarneau et les environs. Chaque année la même émotion nous étreint sur le moment de célébrer tous ensemble la commémoration de ce qui restera comme l’un des moments déterminants de l’histoire de Concarneau. #souvenirfrançais #souvenirfrancais

^{1ère circonscriptionLe 5 mars 2022C’est entourée de ses amis, de sa famille, de ses anciens collègues élus dans la salle des mariages et du Conseil Municipal de Roche-la-Molière, où elle a exercé les mandats d’Adjointe de 1989 à 2003 puis Maire de 2003 à 2014, que Marie-Hélène Sauzéa a reçu des mains de Michel Thiollière, ancien Sénateur-Maire et Président de Saint-Etienne Métropole les insignes de chevalier de l’Ordre National du Mérite et de mes mains la médaille de l’Assemblée Nationale. Voici le discours que j’ai prononcé ce samedi 5 mars 2022 Mesdames et Messieurs, Je veux associer à ma prise de parole, Arlette Bernard, députée suppléante et Pierrick Courbon les deux conseillers départementaux de Roche-la-Molière. Enfin ! Il était temps ! Nous commencions à redouter que cette cérémonie n’ait jamais lieu, d’autant plus que l’impétrante qui nous réunit ce jour, fuit les honneurs… Quatre ans après ma demande initiale auprès du ministre de l’Intérieur Gérard Collomb, plus de deux ans et demi après la réponse positive de son successeur Christophe Castaner et l’officialisation de la bonne nouvelle dans un décret du Président de la République en date du 30 novembre 2019, deux longues années de crise sanitaire, nous pouvons enfin célébrer collectivement l’élévation au grade de chevalier de l’ordre National du Mérite de Marie-Hélène Sauzéa. Une reconnaissance de la République amplement méritée pour l’enseignante qu’elle a été et qui a consacré toute sa vie à l’intérêt général, à son territoire et aux Rouchons à travers ses différents mandats locaux. Nous nous sommes connus au Parti Socialiste de la Loire et je dois dire que j’ai toujours apprécié la sincérité de l’engagement de MHS, la fidélité à ses valeurs de femme de gauche, une femme de convictions avec des qualités rares en politique l’humilité, la simplicité, la franchise, l’absence de langue de bois qui parfois lui aura joué des tours. La passion de transmettre et l’enseignement aura été un fil rouge pour l’ensemble de ses mandats locaux, en particulier dans ses fonctions d’élue à la Région Rhône-Alpes au cours de deux mandats entre 1998 et 2010, où elle s’investit aussi dans le dossiers de l’enseignement supérieur et de l’ESS, mais aussi en tant que vice-présidente de Saint-Etienne Métropole auprès de Michel Thiollière. Professeur de vente au Lycée Professionnel Privé Ste Marie à St Etienne jusqu’en 2009, j’ai eu l’occasion de côtoyer Marie-Hélène dans son environnement de travail en tant que conseiller général du Crêt de Roc lorsqu’elle siégeait elle-même au titre de la région au conseil d’administration de l’établissement. La culture fut le second fil rouge dans ses responsabilités au sein du Syndicat Intercommunale de la Vallée de l’Ondaine et surtout dans sa commune de Roche-la-Molière. De 1989 à 2003, Marie-Hélène a fourbi ses armes d’élue municipale en tant qu’adjointe au maire de Roche la Molière, Jean Hugon avec à son actif la création d’une saison culturelle, de l’office municipal de la culture, d’une fête annuelle de la culture, la mise en place d’une projection de films récents une fois par mois, le développement de la bibliothèque municipale et l’installation de l’école de misique dans des locaux adaptés. En tant que maire de Roche-la-Molière entre 2003 et 2014, elle aura largement initié le renouveau de sa commune, lançant de vastes projets de rénovation en centre-ville, tout en préservant le cadre de vie des habitants et l’histoire de cette ancienne ville minière. En matière d’urbanisme et de préservation du patrimoine – la rénovation du quartier de la Côte-Durieux – les premières constructions au centre-bourg sur l’ilôt Cousteau – les travaux au château et de son parc municipal – la rénovation et restructuration de la place Jean Jaurès où se tient le marché le samedi matin – la rénovation de la mairie isolation, mise aux normes, amélioration de l’accueil et de la salle des mariages…. Dans le domaine culturel et sportif – la construction de l’espace culturel de l’Opsis avec une salle de spectacles, une médiathèque et un hall d’accueil pouvant permettre des expositions, inauguré par la ministre George Pau-Langevin – la construction de la Halle des sports Dans le domaine social de l’enfance et de la famille – la création d’une épicerie sociale Le panier rouchon » en 2010 ouverte aux familles en difficultés. – la création d’un jardin d’enfants pour accueillir les enfants de deux ans. – la création d’un pôle de services regroupant tous les services sociaux CCAS, services sociaux du département, caisse de secours de la mine… chantier qui aura été visité par la ministre de la fonction publique de l’époque Marylise Lebranchu en 2012 – l’acquisition du château de Grangeneuve pour en faire un centre de loisirs Toute sa vie, MHS a été engagé dans l’encadrement des centres de loisirs et de vacances et au sein de l’Éducation Populaire elle a exercé les fonctions de directrice d’un centre de vacances accueillant des enfants stéphanois de milieu très défavorisés de 1974 à 1989 à l’Hopital le Grand. Pendant ses mandats d’élue, MHS a toujours tenu à poursuivre ses engagements dans les associations locales et nous avons plaisir avec les élus rouchons à croiser MHS sur le terrain de la vie associative où elle reste très investie – à Sourire-Aimer association qui a crée et qui gère un orphelinat à Madagascar. Parrainage d’un enfant et aide dans des actions pour apporter du financement – au sein de l’association addictions France – dans les Amicales de Roche et au Panier Rouchon – en tant que bénévole à l’association de don du sang de Roche la Molière où elle assure l’accueil lors des journées de don du sang à l’école de la Piotière En tant que député de Roche-la-Molière depuis 2007 j’ai eu plaisir à travailler avec MHS et ses équipes municipales Je n’oublie pas ces moments particuliers comme l’inauguration en 2010 du rond-point Villeboeuf dédié au passé minier à l’entrée de la commune, la remise d’une lampe de mineur avec l’association A nos Gueules Noires à Aurélie FILIPETTI ministre de la culture lors de sa venue à la Biennale du design en 2013, la visite du président de l’Assemblée Nationale Claude Bartolone à l’entreprise OLIVO pour souligner l’excellence des savoirs faire industriels de la commune. Au moment où je vais bientôt quitter mes fonctions de député, je veux dire tout le plaisir qui est le mien d’avoir été au contact des rouchons, des élus qui comme MHS les représentent fièrement, mon plaisir d’avoir pu tenir dans la commune deux bilans de mandat dont le 1er en 2008 et 2015, d’avoir pu évoquer dans l’hémicycle de l’Assemblée Nationale un 4 décembre la fête de la Sainte Barbe et la salle des Polonais de Beaulieu… je sais ce que je dois aux habitants de cette commune minière qui m’a toujours accordé une large confiance aux élections et à MHS qui m’a toujours été d’un soutien indéfectible dans les différentes campagnes électorales. Cette cérémonie de remise des insignes de l’ONM se déroule avec deux ans de retard, mais elle va nous permettre de distinguer doublement MHS pour sa vie d’engagements au service de l’intérêt général et de sa collectivité Rouchonne je suis très fier de te décerner, chère Marie-Héléne, la médaille de l’Assemblée Nationale. » 3 commentaires} bnu1.

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