SheetMusic - £30.99 - Various - Un siècle de chansons françaises 1949-1959 - PVG. Composers Overview Composer Index Performances Anniversaries News New Recordings New Books Photo Gallery Online Scores Publications Overview New Publications News Shop Sheet Music & Scores. Brass Chamber Choral Drums & Percussion Folk & World Instruments Full Le fait qu’Israël fasse partie du concours européen de la chanson qu’est l’Eurovison, est déjà aberrant. Israël ne fait pas pas partie de l’Europe, que l’on sache, et sa politique criminelle disqualifie a fortiori cet Etat pour toute participation dans la fameuse Europe ». Mais qu’en plus, on admette qu’il soit représenté par une chanson sur la menace nucléaire que constituerait l’Iran est un véritable scandale. Il existe des dirigeants déments qui aspirent à nuire avec des technologies diaboliques et ils vont presser le bouton » va chanter devant des dizaines de millions de téléspectateurs le groupe israélien Teapacks», le 10 mai prochain, à Helsinki.. Le morceau intitulé Push the button », sous prétexte de représenter la peur » israélienne que leur pays soit rayé de la carte » par l’Iran on prend vraiment les gens pour des imbéciles ! est en fait une invitation à attaquer l’Iran, de manière préventive », comme on tente de nous y habituer désormais quand l’administration américaine ou les dirigeants israéliens veulent introduire le chaos dans un pays trop indépendant à leur goût. Le monde est plein de terreur », chante le chanteur Kobi Oz, en s’en prenant au président iranien, Mahmoud Ahmadinejad. Je ne veux pas mourir, je veux voir les fleurs grandir, je ne veux pas être kaput-kaboom», ose-t-il poursuivre, après que son pays eût fait mourir plus de 1200 civils cet été, utilisé des technologies diaboliques » que sont les bombes à fragmentation qui continuent à tuer des habitants du sud Liban, et transformé des villages entiers en champs de ruines ! Et ça au Liban l’été dernier, c’était l’Iran ? Est-ce que Rachel Corie, pacifiste américaine de 23 ans, voulait mourir » écrasée volontairement par un bulldozer israélien, à Rafah Bande de Gaza il y a 4 ans jour pour jour ? Le nouveau sondage international montre que l’opinion publique, qui place Israël en tête des pays dangereux, ne s’y trompe pas. Israël est le principal fauteur de guerre et de terrrorisme dans le monde, et tous les gouvernements qui l’encouragent sont criminels. Et on ne voit pas enquoi la bombe atomique possédée par Israël serait plus rassurante que celle de l’Iran, bien au contraire ! Cette propagande de guerre est nauséabonde, intolérable. Nous devons la dénoncer, et le faire d’abord auprès du gouvernement français qui accepte de collaborer sur le plan militaire, économique et culturel avec un pays qui pratique le terrorisme d’Etat. A l' »Europe » sous la coupe de l’OTAN et de la logique impérialiste, nous avons déjà dit NON majoritairement. A une France collabo et prête à s’engager dans des entreprises guerrières pour que puissent se perpétrer tranquillement l’occupation et l’oppression des Palestiniens et d’autres peuples, nous devons également dire NON. Commençons par balayer devant notre porte ! C’est le moment ou jamais de s’adresser aux candidats et de leur exprimer notre refus d’écraser tous ceux qui résistent aux volontés busho-sionistes. Rappel des coordonnées des candidats aux élections présidentielles -M. Nicolas Sarkozy, Place Beauveau. 75008 Paris -Mme Ségolène ROYAL, Siège du PS 282 Boulevard St-Germain -75007 – Paris -M. François BAYROU Assemblée Nationale, 126 rue de l’Université – 75007 – Paris -Mme Dominique VOYNET Sénat 15 rue de Vaugirard -75006 – Paris -Mme Marie-George BUFFET Parti Communiste Français Place du Colonel Fabien -75019 – Paris -M. Olivier BESANCENOT abs LCR-Rouge, 2 rue Richard-Lenoir – 93100 – Montreuil -Mme Arlette LAGUILLER abs Lutte Ouvrière BP 233 – 75865 Paris cedex 18 -M. José BOVE Confédération Paysanne, 104 rue Robespierre. 93170 Bagnolet CAPJPO-EuroPalestine
Bonjourà toutes et à tous Ce petit blog est destiné à mettre à la disposition des instituteurs et professeurs des écoles les quelques poèmes de Miguel Dey destinés à la jeunesse. Bien évidement d'autres peuvent utiliser les poèmes qui sont dans ce blog. Lire la suite 26 juin La grenouille Une grenouille Qui part en vadrouille, Partout farfouille Greville et patrouille. Mais
Passer au contenu Histoire de la Mode Les années 1940 De la Guerre au New Look Il était une fois… La mode des années 1940La mode des années 1940 s’ouvre sur la Seconde Guerre mondiale. Occupation, restriction, la haute couture risque la faillite tandis que, à l’ombre de leur foyer, les femmes réinventent une mode faite de bric et de broc, de bouts de ficelle et de pas mal d’ingéniosité. Peu après la libération, c’est la féminité qui est célébrée dans toute sa splendeur avec le New Look de Dior. La taille s’étrangle, les jupes s’évasent, les matières s’ennoblissent c’est la fin de la restriction, de la peur, de la mort. La mode a, comme les Français, un besoin irrépressible de 1. Londres, essayage de chapeaux dans un grand magasin,1942 / 2. Paris, 1945 / 3. Deux femmes à la Sorbonne, Paris, 1948. Dutch National Archives CC 1939 DÉBUT DE LA DEUXIÈME GUERRELa décennie s’ouvre sur l’horreur de la Seconde guerre mondiale. Le vêtement devient alors un symbole de l’oppression allemande, obligeant , dès le mois de juin 1942, tous les Juifs de la zone occupée en France, âgés de 6 ans et plus, à arborer une étoile jaune. Photos 1. Juin 1942. Bundesarchiv, Bild 183-N0619-506 / CC-BY-SA 2. Paris, rue de Choiseul en septembre 1940. Les Juifs ne sont pas admis ici ». Bundesarchiv, Bild 183-S59096 / CC-BY-SA 3. Adolf Hitler devant la Tour Eiffel le 23 juin 1940. Bundesarchiv, Bild 183-H28708 / CC-BY-SA LA MODE RATIONNÉEDès 1941 sont émis des tickets de rationnement. Toutes les matières utiles à l’industrie de l’armement sont réquisitionnées. Ainsi, les textiles sont parmi les premiers produits limités. La mode est muselée, morte diront certains. C’était sans compter sur l’imagination des femmes qui recyclent des matières inédites et créent leurs propres vêtements à l’ombre de leur chaumière. Les magazines, féminins en particulier, prodiguent des conseils aux ménagères pour continuer à s’habiller en contournant le système de rationnement. Ainsi lit-on dans Marie-Claire, Le Petit Écho de la Mode ou la Figaro des astuces pour confectionner des robes en raccommodant des pièces de tissus différents, pour recycler ses rideaux en vêtements et pour les faire durer le plus longtemps possible. La soie, réquisitionnée pour la fabrication de parachutes, de cordes et de filets, rend les bas introuvables. Voilà sans doute l’accessoire qui manque le plus aux femmes des années 1940. Tellement que certaines se teignent les jambes avec du thé pour imiter la soie. Elisabeth Arden invente même une lotion colorante pour les jambes, qu’elle associe à un crayon noir permettant de dessiner une fausse couture à l’arrière du mollet. Le succès est immédiat et d’autres marques commencent à commercialiser ces bas sans maille » ou liquid hosiery » bas liquides. Photos 1. Ces bas usés seront retraités et transformés en parachutes. / 2. Une femme enduite de bas liquides » en 1941. C’est l’heure de la mode du système D et de la récupération. On cherche au fond de son grenier un accessoire, un morceau de cuir ou de soie, de laine ou de dentelle. Les Puces s’arrachent, alternative à bas prix de vêtements de qualité. UNE MODE À L’IMAGE DES TEMPSPhoto Vie quotidienne dans une rue de Paris, 1941. Bundesarchiv, Bild 101I-247-0775-38 / Langhaus / CC-BY-SA Cette mode DIY » est à l’image des temps rudes fonctionnelle et habillée de couleurs sombres. Mais qui n’oublie de rester élégante, comme un pied de nez à l’occupant. Les hanches se cintrent, les épaules gagnent en largeur et les jupes, restrictions de textiles obligent, raccourcissent au-dessous des genoux. CES VÊTEMENTS ET ACCESSOIRES ICONIQUES DES 1940’SPhoto Les temps sont durs mais la Parisienne reste élégante. Gants, chapeau, veste cintrée et épaulée, jupe sous les genoux. Quai d’Orsay, août 1942. Bundesarchiv, Bild 183-H27235 / CC-BY-SA LA VESTE À ÉPAULES CARRÉESInspirée du vestiaire masculin, elle remplace les longs manteaux. Sous sa carrure carrée, elle dessine à la femme des 40’s une allure puissante qui contrastera avec les épaules arrondies du New Look de Dior dès 1947. LA JUPE CRAYONBye bye plis, volants et autres effets de style robes et jupes adoptent une coupe droite, sans fioriture, pour économiser le tissu. Ce qui signe la naissance de la must-have jupe crayon. LE SAC À BANDOULIÈREPlus pratique que le sac à main, la bandoulière fait également son apparition à ce moment là. Pourquoi ? Car plus pratique, en particulier pour circuler à bicyclette. Il est large et contient, parfois, un compartiment destiné au masque à gaz. LES SEMELLES COMPENSÉESLes semelles compensées deviennent les chaussures les plus courues du tout Paris. Restriction du cuir oblige il est alors réservé à l’industrie militaire, elles sont en bois, lourdes et inconfortables. Elles inspireront à Maurice Chevalier, en 1942, la chanson La symphonie des semelles de bois » J’aime le tap, tap, tap des semelles en bois Ça me rend gai, ça me rend tout je ne sais quoi Lorsque j’entends ce rythme si bon Dans mon cœur vient comme une chanson Tap, tap, tap, c’est le refrain De la rue pleine d’entrain Tap, tap, tap, la symphonie Des beaux jours moins vernis On détourne également caoutchouc, vieux pneus, acier, paille tressée… LE CHAPEAU, LE BIBI, LE TURBANLes accessoires deviennent le doudou-mode refuge, inspirant, en février 1942, cet extrait au magazine Marie-Claire, Paris s’habille toujours ou plus exactement se coiffe toujours, car il semble que toutes les recherches de la mode de soient réfugiées dans les chapeaux . C’est à ce moment que naît la prestigieuse Maison Michel et se couvrir la tête devient symbolique d’un acte de résistance à l’occupant. Michèle Morgan icône des années 1940Celle qui se voit surnommer Les plus beaux yeux du cinéma » le doit à son partenaire, Jean Gabin, qui lui susurre dans Le Quai des Brumes » T’as d’beaux yeux tu sais ». Oui, ils sont beaux et ne cesseront d’illuminer les plus grands films français des années 1930 aux années 1980. Après une parenthèse aux États-Unis pendant la guerre, sa popularité explose en 1946 avec La Symphonie pastorale » 1946 de Jean Delannoy qui lui vaudra le prix d’interprétation féminine remis lors du premier Festival de Cannes. Elle sera élue par les Français, à 10 reprises actrice française la plus populaire ». Photo Avec Jean Gabin dans Le Quai des Brumes », 1938 UNE MODE RÉGLEMENTÉELa pénurie est telle que des lois régissant l’habillement et la fabrication des vêtements et des accessoires sont édictées les robes et jupes évasées sont interdites, tout comme les pantalons avec revers et la longueur maximale des ourlets est limitée. Les accessoires en cuir sont également réglementés. Interdiction de fabriquer de grands sacs ou des ceintures dépassant les 4 centimètres de largeur. Les créateurs qui continuent à proposer leurs collections sont limités à la fabrication de 100 modèles, régis par une discipline économique stricte. On récupère ainsi le fil des anciennes collections pour composer les nouvelles. Plusieurs maisons, 85 en 1941, obtiennent des dérogations et bénéficient d’un supplément de matières premières contingentées. C’est sans doute ce qui explique que la haute couture française n’a pas totalement disparu à cette période. LA HAUTE COUTURE ET L’OCCUPANTSous l’occupation, plusieurs éminentes maison de couture de la capitale, Chanel, Vionnet ou Schiaparelli, ferment temporairement. Le couturier espagnol Cristóbal Balenciaga, réfugié à Paris, cesse ses créations. La maison de couture de Jacques Heim, créateur juif, est victime des lois d’aryanisation qui lui interdisent de faire du commerce un administrateur aryen le remplacera. Certains résistent à leur façon, telle Madame Grès qui décline, en 1942, sa première collection autour des couleur bleu, blanc, rouge, se procurant ses tissus au marché noir en signe d’insoumission aux restrictions imposées par l’occupant. Elle arbore un immense drapeau français aux fenêtres de sa maison de couture, jusqu’à ce que les Allemands la ferment en 1943. A contrario, plusieurs créateurs s’accommodent aisément de l’occupation, en tirant même profit, tels Réveillon ou Toutmain qui fournissent l’armée allemande en gilets de fourrure. D’autres, enfin, entretiendront des relations ambiguës avec l’ennemi. Ainsi, Coco Chanel, dont le rôle polémique n’a toujours pas été clairement établi. Car, pour les acteurs du luxe, l’occupant allemand est un client au fort pouvoir d’achat. Le mark s’échange 20 francs alors qu’il n’en valait que 12. Le made in Paris » haut de gamme est le summum de l’élégance et les soldats – et leurs épouses – dévalisent les boutiques chics de la rue Faubourg-Saint-Honoré ou avenue de l’Opéra. Permettant à nombre de maisons de conserver leur personnel et de survivre à la guerre. À la libération, le milieu de la Haute couture est épargnée par l’épuration. Comment redresser la France en la privant du secteur de luxe le plus plébiscité par les riches étrangers, alors que dans le même temps la mode américaine prend son élan, innovant sur les matières, les coupes et le prêt-à-porter ? On ferme ainsi les yeux sur les arrangements et autres complaisances de certains créateurs, au nom de la croissance économique. La polémique ChanelGabrielle Chanel a-t-elle été espionne pour l’ennemi durant l’Occupation ? Son comportement continue à faire polémique. Si elle n’a jamais caché sa relation avec un officier allemand, un livre Dans le lit de l’ennemi. Coco Chanel sous l’Occupation, de Hal Vaughan, paru en 2012 après déclassification des archives françaises, anglaises, allemandes et américaines, la présente comme l’agent F-214 rattachée au service de renseignement de l’état-major allemand. Collaboration que la créatrice a toujours niée. HISTOIRE DE CHANEL Elle a révolutionné la mode avec son look androgyne, sa marinière, son tailleur en tweed. Retour sur l’histoire de la plus célèbre maison française de couture, son style, ses pièces emblématiques et ses accessoires intemporels. 1944 TOUTE LA FOLIE DE LA LIBÉRATIONEn été 1944, lorsque les Alliés débarquent dans la capitale, la rue hurle, danse, s’embrase et s’embrasse. Bye bye rigueur martiale, bonjour effervescence, folie, couleurs. On veut s’amuser à en crever, sortir, danser et s’habiller. De matières nobles jusque là interdites, de mètres de tissus jusqu’à plus soif, de féminité exacerbée. Les épaules se dévêtissent, les décolletés plongent tandis que les jupes s’allongent de quelques centimètres. Les soldats américains importent les chewing gums et une mode d’outre Atlantique affranchie des conventions poussiéreuses bas nylon, cigarettes et jazz soufflent un air de liberté. Le temps est venu – enfin – de s’amuser. L’heure est à la féminité, mais toute en élégance, telle que les Américains, époustouflés, le rapporteront de retour au pays et qui contribueront à construire le mythe de la Parisienne ». C’est aussi, c’est surtout, grâce à l’audace du maître Dior. 1947 LE NEW LOOK DE DIORLa collection Corolle du tout jeune Christian Dior est incontestablement l’événement fashion le plus remarquable de la décennie. Une taille serrée à l’extrême qui exacerbe les formes ; la poitrine se dresse, les épaules s’arrondissent. Jamais la mode n’avait été aussi audacieuse, faisant dire à la directrice de Harper’s Bazaar Carmel Snow It’s a new look » ; Dior vient de réinventer la silhouette de la femme. La France, à terre, n’en demandait pas tant et embrasse cette allure révolutionnaire, aussitôt suivie par toute l’Europe puis par l’Amérique. Christian Dior, inconnu jusque là, devient la nouvelle étoile montante du Paris redevenu capitale de la mode. LES ANNÉES 1950 Taille cintrée, poitrine affirmée, lingerie, bas nylon et déferlante du prêt à porter les Fifties sont élégantes et féminissimes. HISTOIRE DE LA MODE De la préhistoire à la révolution web, remontez le fil de près de 80’000 ans de mode et plongez dans les décennies qui ont marqué le vingtième siècle Toute la mode sur Facebook Toutes les news sur Twitter Toutes les tendances sur Instagram PLUS DE MODE Les tendances mode cocooning En mode cocooning Les jours se rafraîchissent et les nouvelles tendances commencent à envahir les magasins. Pour rester au goût du jour, même à la maison, voici les tendances mode cocooning de cet automne-hiver 2021/2022 ! [...] Wanteeed, l’extension qui détecte illico les promos Bon plan mode et beauté Des réductions automatiques en e-shoppant C'est l'outil qui révolutionne le shopping en ligne. Avec Wanteeed, plus besoin de crawler les sites qui recensent les codes promos, la plateforme le fait automatiquement. Comment ? Est-ce que ça marche ? Quels e-shops sont affiliés ? On [...] Histoire de la Mode Chanel Mode et Histoire La Maison Chanel 1909 Voyage dans l’histoire de la Maison iconique de Haute Couture française à travers des photos historiques, ses dates-clés, ses vêtements et ses accessoires cultes. Ci-dessus Coco Chanel en [...] Location de vêtements et d’accessoires le bon plan mode green&cheap Mode et accessoires On n'achète plus, on loue ! C’est la grande tendance de la slow fashion, qui ne permet pas seulement de réaliser des économies mais encourage également une consommation plus éthique, responsable et durable de la mode. Une approche nécessaire, quand on [...] Rédaction2021-08-03T150843+0200 Partager cet article Articles similaires Page load link Aller en haut VIDEO Pour les 25 ans du film « la Cité de la peur », un flash-mob spécial de carioca a été organisé à Cannes ce jeudi. Les premières notes retentissent et les silhouettes toutes vêtues d’une chemise blanche et d’un pantalon noir, s’élancent. A 18 heures, ce jeudi à Cannes, des dizaines de danseurs ont entamé un flash-mob
Me voilà replongée, tout à coup, dans mes souvenirs d’école.. Ces souvenirs qui n’existent plus aujourd’hui et qui ressurgissent de ma mémoire. Eh oui, j’avais une touche et une belle ardoise "qui casse" bordée de bois, j’en avais une autre en carton que j’aimais beaucoup moins. Et je crachais dessus quand mon éponge n’était pas assez humide. Je me souviens du bruit de la touche qui grinçait un peu... et de l’odeur de l’éponge mal rincée.... Et de cette impression bizarre quand je la tenais dans mes doigts et que je la sortais de sa petite boîte ronde à fleurs. J’avais une belle mallette que ma marraine m’avait offerte, une mallette en cuir bien trop grande pour moi.. mais que je devais garder des années... Fallait juste que je grandisse... Mais avant je me dois de parler de l’école gardienne et de cette fois où j’avais oublié de mettre ma culotte pour aller à l’école, j’avais bien sûr été l’objet de moqueries de mes petits camarades. Mon plus grand souvenir de l’école gardienne, ce fut les gommettes de toutes les couleurs... et aussi des bonhommes que l’on faisait avec des marrons et des bois d’allumettes.... Et la plasticine... bon dieu qu’est ce que j’ai pu faire des serpents... des chiens aussi mais moins bien réussis.... Comme je n’avais pas de médaille, j’attachais un beau bouton doré à un fil et je le mettais à mon cou... Je me souviens aussi du nom de mon institutrice " Laviolette".. joli nom hein ? Elle était douce et gentille. Elle fut remplacée plus tard par Madame Leboutte. De l’autre côté du mur, ma sœur Gisèle était chez les grandes. Il parait qu’on l’appelait souvent à la rescousse quand la petite sœur faisait la têtue... Toute une ambiance l’école du Pont de Scay.. la petite cour avec le marronnier photooù je m’écorchais les bras et les genoux sur les graviers, les garçons qui attaquaient les filles alors qu’ils ne pouvaient pas dépasser une limite bien définie par l’institutrice... Ces rondes que nous faisions entre filles "Un fermier dans son pré.... un fermier dans son pré ohé ohé...." ou "Ne regardez pas le renard qui passe, regardez plutôt quand il est passé"... Je me souviens aussi que je chantais, du moins, j’essayais de chanter avec une autre petite amie les chansons du moment... " Il y a toujours un coin qui me rappelle " d’Eddy Mitchell... Rosette c’était le prénom de ma petite amie avait une superbe voix... moi j’essayais de l’imiter. Mes amies s’appelaient Evelyne Servais, Bernadette Hanique, Marie-Alice Delvenne, Colette Hans et Ginette Defays qui était née le même jour que moi exactement... et j’avais deux petits galants !! qui n’étaient pas qu’à moi seule d’ailleurs.... Parfois même pas du tout.... Un qui s’appelait Serge Leduc décédé depuis longtemps et Christian Dhont... le troisième, André Roumans, m’aimait bien mais moi je n’avais d’yeux que pour Serge. Tous les jours, je partais à l’école avec mes sœurs, j’étais affublée d’un grand caban blanc aussi trop grand pour moi et quand je tournais la tête, ma bonnette restait en place.... Les institutrices Nous avions deux institutrices, l’une qui s’appelait Liliane Vilenne et l’autre Arlette Vosse, celles ci donnaient cours du haut de l’estrade en bois qui longeait le tableau noir. A gauche, il y avait un magnifique bureau... mais gare à celui ou celle qui faisait le vilain... sinon il devait aller dans le "trou du bureau" au pied de l’institutrice... A l’époque les bancs étaient toujours en bois, nous étions assises deux par deux. A part André Roumans qui était assis tout seul. Il arrivait à l’institutrice de lui taper sur les doigts avec une règle quand il faisait des pâtés sur ses feuilles. Madame Vilenne n’avait pas son pareil pour organiser de jolies fêtes scolaires. Nous nous rendions à pieds dans la petite salle, un vieux piano noir restait là en permanence, le mari de madame Vilenne avait bien du mal parfois à le réaccorder. Monter sur scène était pour moi très impressionnant. Quelle ambiance quand la classe se transformait en " cinéma ". On occultait les fenêtres, on mettait un écran et on nous passait un vieux film avec Mickey qui se faisait dévorer par un ogre. Je me souviens de l’énorme luette de celui-ci... je n’aurais pas voulu être à la place de Mickey pour tout l’or du monde.... Dans toutes les classes de l’époque fin 1950 .., il y avait certainement une buse empaillée comme dans la mienne... elle m’impressionnait je dois dire. Un beau poêle en pierre trônait au milieu de la classe, c’est sur ce poêle que nous faisions "péter" nos pommes de terre en hiver, une bonne odeur se répandait dans la classe à l’approche du dîner. Je me souviens des prismes et des cônes en zinc que l’institutrice sortait au bout d’une lune pour nous donner cours et des grandes bouteilles d’encre pour remplir nos encriers... à l’époque, pas de tipex... mais une bonne gomme !!! fallait pas exagérer car on trouait sa feuille... je rentrais souvent de l’école avec les doigts tachés d’encre. Le dernier jour d’école était mon préféré. Ce jour là, on faisait venir des pâtisseries des deux boulangeries du coin, des bons cornets à la crème. On dressait les tables dehors et on buvait de la grenadine... ce fut la dernière fois où j’ai mis les pieds dans la cour... et pourtant bien souvent, je me dis que j’aimerais y retourner.... Ça fait plus de 38 ans maintenant que je n’ai plus entendu tinter la cloche.
laguerre des boutons (chanson du film) / mon mimosa bleu / écoutez la ballade / vieux salomon pas cher En utilisant Rakuten, vous acceptez l'utilisation des cookies permettant de vous proposer des contenus personnalisés et de réaliser des statistiques.
BOUTONS VETEMENTS DESCRIPTION Un bouton est un petit objet généralement rond et plat utilisé en couture pour fermer les vêtements chemise, pantalons, etc. ou parfois à titre d'accessoire. Le bouton se glisse dans une fente surpiquée du tissu, appelée boutonnière ou parfois bride, afin d'y rester bloqué et de maintenir ensemble les deux morceaux d'étoffe. Il existe une énorme diversité de boutons en termes de couleur, forme ou matériau. Cependant, on distingue notamment les boutons à trous des boutons à queue. Du fait de cette diversité, ils sont collectionnés ; les collectionneurs s'appellent des fibulanomistes ».HISTORIQUE Des boutons ou des objets assimilables mais sans doute plus utilisés dans un but esthétique que dans un but de fixation ont été retrouvés dans les vestiges de la civilisation de la vallée de l'Indus, sur des sites chinois de l'âge du bronze, ainsi que dans la Rome antique. La première mention littéraire du bouton date du XIIe siècle dans La Chanson de Roland, où il figure une petite chose sans valeur. Les boutons utilisés dans le but de maintenir les vêtements ne semblent avoir été utilisés qu'à partir des XIIIe siècle et XIVe siècle en Europe, notamment pour maintenir les manches des chemises de l'époque. C'est sous Louis XIV que l'usage se répand en France où il devient un accessoire de mode luxueux en s'agrémentant de joyaux ou de peintures miniatures faites à la main. Les boutons anciens étaient en os, en corne cas du duffle coat, en ivoire ou en nacre. Avant d'être supplanté par les plastique, la plupart des boutons étaient fabriqués en corozo. Le bouton-pression a été inventé par Bertel Sanders Danemark en Wikipedia
Avantde sortir de son silence, vendredi 7 mai 2021, pour la sortie de son nouveau titre TPA ( pour "tout peut arriver", NDLR), annonciateur d'un

Paroles de la chanson Merci d'être venus par Georges Chelon Merci d’être venus Merci d’être venus malgré tous vos soucis La grève du métro, le dernier Loft-story Merci d’avoir bravé peut-être la tempête Un sacré mal de dos un fichu mal de tête Merci d’être venus du fin fond de la France D’un petit trou perdu mais qui a son importance Ou d’avoir traversé ne serait-ce que la rue De n’pas avoir mangé de vous être perdus Merci d’avoir traîné quelques jeunes avec vous Ils me connaissent peu, très peu ou pas du tout Qu’importe, ce qu’il faut, n’en prenez pas ombrage C’est baisser à tout prix notre moyenne d’âge Eh oui… l’occupation, Vichy, la résistance Hiroshima, "ils" viennent et c’est la délivrance On peut dire qu’on y était, qu’on a connu la guerre Même si l’on n’avait pas l’âge de la faire On a tous en mémoire les trois mois de vacances Le dernier bonnet d’âne, le lait de Mendès France Et les caramels mous et les chewing-gum gagnants Victor Hugo sur les billets de 500 francs Laïka tourne autour de la terre qui se plaint Le téléphone est rouge, le mur est à Berlin À Dallas, Kennedy va croiser son destin On marchera sur la lune dans les pas de Tintin James Dean et Marilyn, Bardot, Gérard Philippe C’est la fureur de vivre et Fanfan la tulipe C’est La guerre des boutons et Les jeux interdits Zitrone en noir et blanc, Bonne nuit les petits C’est la nouvelle vague, c’est la baie des cochons Les pantalons pat’d’eph , les jeans, les bas nylon C’est la guerre d’Algérie, le retour des Pieds noirs De Gaulle, mai 68 et un nouvel espoir Dans la Deudeuche on fait l’amour sans la capote La première mini-jupe au ras de la culotte C’est la vie sans portable, la vie sans carte bleue La vie sans autoroute, les temps moyenâgeux Brel, Brassens, les Beatles, Take Five et Paul Anka Brenda Lee, Les Platters, la table en formica Warum et les Yéyés et les disques en plastique Dans les boums, le Teppaz pour cracher la musique Bobet, Fausto Coppi, Killy, Kopa, Pelé Jazy, Di Stéphano, Yachine, sans oublier Carrier, Desgranges, Perchey, des noms certes moins nobles Mais qui ont porté haut les couleurs de Grenoble Comme vous le voyez, on est tous dans l’même train On a les mêmes souvenirs, on a les mêmes chagrins Dans les wagons de tête on en voit qui nous quittent C’est comme si pour eux l’train roulait déjà trop vite Merci d’être venus, ça me fait chaud au cœur Je sais qu’il y a des soirs où l’on n’est pas d’humeur On s’mettrait bien au lit avec une bonne tzigane?! Mais non, pas une tzigane … Avec une bonne tisane?!

Lavie est brève. Il faut bien se promener. Et marche ou crève. Comme tu veux tu fais. Et marche ou crève. Et merci mon officier. "Marche Le mythe voulait que "le Chant des partisans" soit né dans les maquis. Mais la plus célèbre chanson française de la Seconde guerre a été composée à Londres par une Russe fière des exploits de partisans soviétiques, rappelle une exposition à Paris. La guitare d'Anna Marly, aristocrate née Anna Betoulinsky en 1917 à Pétrograd en pleine révolution d'Octobre et exilée en France peu après et le manuscrit original sont des pièces phares d'une exposition au musée de l'Ordre de la Libération dédiée jusqu'au 5 janvier à la création de cet hymne de la Résistance. Compositrice, guitariste, danseuse et chanteuse dans les cabarets parisiens, elle prend le nom de scène Marly. La guerre la contraint à un nouvel exil, en Angleterre, où elle tourne dans les cercles russophones résistants et s'engage comme cantinière dans les Forces françaises libres. C'est en 1942 à Londres, après avoir lu le récit de la bataille de Smolensk qui a marqué l'arrêt de l'offensive allemande sur le front de l'Est en 1941, qu'elle écrit la musique et les paroles en russe de la "La Marche des partisans" qu'elle interprétera elle-même et qui deviendra "Le Chant des partisans". Marly, Kessel, Druon En 1943, Joseph Kessel, fils de Juifs de culture russe, aviateur et romancier et son neveu Maurice Druon écrivent les paroles en français, poussés par le résistant Emmanuel d'Astier de la Vigerie. "Un peuple qui n'a pas de chanson est un peuple qui ne peut pas se battre", disait Joseph Kessel qui a combattu pendant les deux guerres. Emmanuel d'Astier de la Vigerie qui avait pour sa part écrit les paroles pour une autre chanson d'Anna Marly, la "Complainte des partisans", réinterprété en 1969 en anglais par Leonard Cohen, voulait que les auteurs gardent l'anonymat. "Marly, Kessel, Druon qui ont écrit cela à Londres autour du thé et des sandwichs, cela n'apporterait pas beaucoup de crédibilité au chant des maquis. Il faut qu'on s'imagine qu'il surgit de la France occupée et appartient à tous les maquisards", souligne Lionel Dardenne, commissaire de l'exposition. En 1945 les paroles sont imprimées avec leurs noms, mais cette "fausse image d'Épinal" persiste et les auteurs n'ont jamais été vraiment mis en avant, ajoute-t-il. Adopté par les Viet Minh Le Chant des partisans a rythmé les émissions de la France libre sur la BBC de Londres et le succès de ce chant de lutte et de résistance ne s'est jamais démenti. Depuis 1943, il a été repris, imité et réarrangé de nombreuses fois par Joséphine Baker, Yves Montand, les choeurs de l'Armée rouge, Johnny Hallyday, Claude Nougaro, Zebda, Camélia Jordana ou encore Noir Désir... Aujourd'hui le Chant des partisans est joué lors de cérémonies officielles "sans que les gens sachent d'où il vient", souligne le commissaire. Accompagnant les cérémonies au Mont Valérien, haut lieu de la mémoire nationale ou en hommage des victimes du terrorisme, "il est chanté de façon presque funèbre alors qu'au contraire c'est un chant de marche et de mobilisation", ajoute-t-il. Ironiquement, le Chant des partisans a été adopté par le Viet Minh, l'armée pour l'indépendance du Viet Nam qui luttait contre la domination française. Aujourd'hui, en France, ce sont les "gilets jaunes" qui se réapproprient le célèbre Chant avec des paroles transformées en "Macron entends-tu". Cettesemaine encore, peu de films à l’affiche du cinéma du centre ville alors mon choix s’est porté sur « La guerre des boutons » (version Yann Samuell) Synopsis: 1960, un village dans le sud dela France. Unebande de garçons, âgés de 7 à 14 ans, menée par l’intrépide Lebrac, est en guerre contre les enfants du village voisin, leurs ennemis jurés. Une guerre sans merci, qui
Le chanteur Richard Anthony en 1963. — UNIVERSAL PHOTO/SIPA Richard Anthony, décédé dans la nuit de dimanche à lundi, laisse derrière lui près de 600 titres. Au cours de sa carrière, il aura vendu plus de 60 millions de disques. Ce polyglotte parlant 6 langues a adapté de nombreux standards du rock'n'roll américain en français dans les années 1960. Installé aux Etats-Unis dans les années 1970, il adaptera alors grandes chansons de la variété française en anglais.Nouvelle vague» en 1958Richard Anthony obtient son premier succès avec Nouvelle vague, pour le label Columbia. Le morceau est une adaptation de la chanson Three Cool Cats des Coasters. Itsy bitsy petit bikini» en 1961Itsy Bitsy Teeny Weeny Yellow Polka Dot Bikini est écrite par Paul Vance et Lee Pockriss pour Brian Hyland qui l'interprète en 1960. Itsy Bitsy petit bikini fut reprise en France par Dalida, Johnny Hallyday ou encore Dario Moreno. Et j'entends siffler le train» en 1962Adaptation du tube anglo-saxon Five hundred miles chanté par plusieurs interprètes dont Kingston Trio ou Peter Paul and Mary, Et j'entends siffler le train est le plus gros succès français de Richard Anthony. La leçon de twist» en 1962La Leçon de twist, adaptation française de Twistin the Twist créé par Teddy Martin and his Las Vegas Twisters, fut reprise pratiquement en même temps, au début du printemps 1962, par Les Chaussettes Noires, Danyel Gérard, Dalida et Richard Anthony. J'irai twister le blues» en 1963Il s'agit d'une chanson originale, qui fait partie des nombreux hommages à la célèbre danse des années 1960. A présent tu peux t'en aller» en 1964Reprise du titre de Dusty Springfield, I only want to be with you, A présent tu peux t'en aller a aussi été chanté en français par les Surfs. Sunny» en 1966Si l'on ne compte plus les reprises de la chanson de Bobby Hebb, Richard Anthony fut le premier à l'entonner en français. Le concerto d'Aranjuez» en 1967Richard Anthony enregistre et adapte le Concerto d'Aranjuez de Joaquin Rodrigo, en 1967 sous le titre Aranjuez mon amour, sur ses deniers propres. Il ira le présenter lui-même à Joaquin Rodrigo à Madrid et obtiendra sa permission de le sortir. Ce titre sera son plus grand succès, on l'estime a plus de 5 millions d'exemplaires vendus dans le monde. Le sirop typhon» en 1969Un drôle de titre, avec de drôles de paroles... adapté de la chanson Lily The Pink des Scaffold, resté trois semaines n°1 en Angleterre. Amoureux de ma femme» en 1974Encore une Adaptation, mais d'une chanson italienne cette fois-ci!
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