- L'EXPRESS Il faut qu'un peuple soit allé loin dans le désaveu de ses représentants et le désarroi pour en arriver à dire qu'il ne compte plus que sur lui-même... - NICOLE NOTAT Oui, c'est terrible! Ces 52% qui pensent que plus personne n'est capable de leur donner de l'espoir, de la confiance, c'est la marque d'une société où l'individualisme prime, où les solutions simplistes, populistes ou le n'importe quoi peuvent gagner en influence - la marque d'une société qui désespère. - Cette société risque-t-elle de basculer dans l'aventure? - Difficile de répondre. Tout paraît indiquer que nous sommes historiquement à un tournant. Tel que je lis ce sondage, le tournant peut déboucher sur le meilleur... ou le pire. - Quelle gifle pour vous, ces 5% de Français à peine qui comptent sur les syndicats pour améliorer la situation!... - C'est sévère, en effet. Et ça pourrait même avoir un côté décourageant pour nous, à la CFDT, qui essayons d'infléchir le cours des choses. Nous ramons pour apporter la preuve qu'un syndicat ne se cantonne pas forcément dans un rôle d'amplificateur de l'inquiétude, de l'angoisse, de la colère. Nous, nous ne voulons pas que ça aille plus mal en espérant que tout va enfin péter. Avec la CFDT, je fais en sorte de montrer notre capacité à avancer des propositions, à promouvoir des solutions concrètes. - Paradoxalement, je remarque d'ailleurs que la plupart des idées que nous défendons semblent désormais acceptées. - Alors, comment expliquez-vous cette contradiction révélée par notre sondage? Je crois que les syndicats paient tous le fait d'avoir été considérés comme des sous-marins de partis politiques, en particulier la CGT celui du PC, et la CFDT celui du PS. C'est ce qui explique en partie une anomalie française la faiblesse de notre taux de syndicalisation, qui atteint aujourd'hui un record, puisqu'il est le plus bas d'Europe. Mais, quand 95% des Français refusent d'accorder du crédit aux syndicats, cela ne signifie pas qu'ils souhaitent leur disparition. Les gens veulent surtout des syndicats d'un autre type. Offre limitée. 2 mois pour 1€ sans engagement - Ne cherchez-vous pas à vous rassurer? - Il y a malgré tout de quoi espérer, dans votre sondage. D'abord, les messages les plus importants à mes yeux sont passés. La majorité est acquise à la maîtrise des dépenses de santé, à la réduction du temps de travail, à la monnaie unique. C'est quand même un démenti cinglant à tout ce que les lobbys nous racontent toute la journée, médias en tête, sur le prétendu état d'esprit des Français à l'égard de toutes ces réformes! Je prends un exemple les médecins renâclent devant le tour de vis que le gouvernement veut leur imposer, mais plus des deux tiers des assurés et leurs familles sont disposés à limiter leurs dépenses de santé, eux, pour sauver la Sécu. Vous vous attendiez à ça? C'est une bonne surprise! - L'autre bonne surprise, pour vous, concerne, bien sûr, la réduction du temps de travail avec diminution du salaire. Etes-vous étonnée? - Pas du tout. Alors que certains en sont encore à se demander si la réduction du temps de travail est une solution au chômage et si elle doit s'accompagner d'une réduction du salaire, les Français ont un train d'avance sur leurs dirigeants. Au moment où l'on conteste la loi Robien, il faut tirer très vite les leçons d'un tel plébiscite. Même si la situation est extrêmement contrastée selon les secteurs. A la CFDT, nous avons procédé à une enquête auprès de 25 000 salariés. Elle sera rendue publique courant novembre. Elle démontre qu'aucun groupe, pas plus les smicards que les autres, ne se prononce globalement pour ou contre la réduction du temps de travail. Chaque cas, chaque entreprise est spécifique. Votre sondage plus cette vérité du terrain démontrent qu'il faut à la fois indiquer la direction générale et faire du sur-mesure, non du prêt-à-porter. - Pourquoi les chefs d'entreprise ont-ils plus de crédibilité que les institutionnels pour lutter contre le chômage? - Les Français savent mieux que les commentateurs, obsédés par les politiques et l'Etat, quelle part de responsabilité ont les patrons en matière d'emploi. Ils leur signifient ainsi qu'ils ne sont pas dupes, et ils ont bien raison! Quand je pense à Jean Gandois, qui s'est fait élire à la tête du CNPF avec pour slogan l' entreprise citoyenne», je trouve qu'il l'a drôlement oublié depuis. Quelle est cette histoire dont les patrons nous rebattent les oreilles? Les entreprises ne vont quand même pas nous dire qu'elles vont éternellement faire de la variable d'ajustement sur les effectifs et qu'elles n'accepteront jamais leur responsabilité sociale! La productivité et la compétitivité françaises sont excellentes, mais je ne crois pas, moi, à la prospérité des entreprises dans un océan de précarité. Bien sûr, avec 3,4 millions de chômeurs, le rapport de forces est en faveur des patrons, et ils en abusent. Ils sont tranquilles, pardi! puisqu'on focalise sur tous les acteurs sociaux, sauf sur eux. Ils se désintéressent, pour beaucoup, de la situation sociale. Eh bien, il ne faut plus les lâcher! Sinon, il y aura un jour un retour de bâton dont personne ne peut prédire ce qu'il sera. Que les patrons ne viennent pas alors pleurer, au cri d' Arrêtez la révolte!». Ils auront eu ce qu'ils méritent... - Pendant qu'ils manifestent un tel égoïsme ou une telle inconscience, les Français, eux, affichent une belle générosité de comportement. Y croyez-vous? - Oui, et c'est cohérent avec le fait qu'ils ne comptent plus que sur eux-mêmes. Aider les associations caritatives, consacrer du temps à sa ville ou à son quartier, nous savons que c'est une réalité. Il y a donc une grande marge de manoeuvre pour des actes de solidarité concrète. Malgré la situation, les gens sont encore capables de se mobiliser pour des causes. C'est un potentiel formidable pour une société. - L'avertissement donné aux hommes politiques est sans appel. Faut-il désespérer de renouer les liens entre les Français et eux? - L'avertissement est en effet très grave. Inutile de revenir là-dessus. Mais les Français indiquent en même temps leurs solutions pour que le politique retrouve, à leurs yeux, estime et efficacité. Ils pointent les moyens de la réhabilitation. Une façon de dire aux politiciens Voilà, nous sommes brouillés, mais, si vous nous écoutez, nous pouvons nous réconcilier.» Cela prouve qu'ils en ont plutôt envie. Deux choses me frappent. La première le très fort consensus autour des trois premières propositions du sondage. On peut alors parler de l'opinion d'un peuple, puisque les clivages déterminants d'ordinaire disparaissent. La seconde la cohérence forte de ces solutions qui s'articulent parfaitement entre elles. - Pour vous, quelle est la plus étonnante? - Franchement, dans tout ce sondage, c'est la parité hommes-femmes qui constitue pour moi une bombe. Ce résultat, cinq mois après, confirme ceux que vous aviez déjà publiés. Donc, il y a une vraie demande. Devant un tel score, les partis politiques devraient se remuer. - Vous savez mieux que personne que les femmes au pouvoir suscitent des réactions ambiguës. Alors, qu'y a-t-il derrière cette aspiration à la parité? - Dans notre société, le rapport aux femmes est ambivalent. Les Français sont, il est vrai, d'une sévérité sans pareille à l'égard des femmes au pouvoir. A connerie égale, nous payons quand même beaucoup plus que les hommes. C'est pourquoi je ne crois pas qu'on puisse aller jusqu'à prétendre que nos concitoyens se retournent vers les femmes comme vers un recours. J'interprète plutôt ce voeu de parité comme le refus d'une discrimination indigne d'un pays comme la France. Une moitié de l'humanité privée de la gestion des affaires, ça ne fait pas moderne. De plus, à l'instar de la proportionnelle, l'accession des femmes à la politique semble un gage de diversité - une diversité que notre système institutionnel ne respecte plus, mais qui apparaît comme une source inexploitée de démocratie. - Aspiration à plus de démocratie aussi, la préférence nationale à l'embauche? - C'est très inquiétant, mais il faut regarder les choses en face. Si les Français sont pour, mieux vaut le savoir, et vous avez eu raison de poser cette question sans détour. Il faut en finir avec le silence bien-pensant sur ces vérités horribles. Puisque le racisme continue à faire son chemin souterrain dans notre société, c'est pour moi une faute éthique grave que de le taire. On ne combat bien que ce qui parvient à la conscience. Le reste, c'est de l'obscurantisme. - Mais, en tant que responsable syndicale, vous attendiez-vous à un tel score? - Franchement, pas tout à fait. J'avais l'intuition que le Front national, ça n'arrive pas qu'aux autres. Le résultat prouve que chez les salariés aussi, c'est-à-dire chez ceux que nous sommes censés connaître et représenter, il progresse. - Que peut faire la CFDT? - J'ai constaté que dans les entreprises nos délégués n'osaient pas spontanément aborder ce thème avec les employés. C'est tabou, d'autant que ceux qui y sont sensibles le gardent évidemment pour eux. Face à cette situation, il fallait faire émerger la parole. Nous avons donc engagé une recherche avec le sociologue Michel Wieviorka et des équipes de la CFDT qui ont accepté de se livrer à ce travail dans leurs entreprises. Nous en aurons bientôt les résultats. D'ores et déjà, je peux vous dire que l'immigré occupe de plus en plus la place de l'accusé auprès des salariés français. - Les adhérents de la CFDT sont-ils à l'abri de ces thèses? - Je serais très fière de vous répondre oui. L'honnêteté m'oblige à vous dire que ce n'est pas si sûr. - Selon vous, les insultes que vous avez récemment essuyées, lors d'une manifestation, ont-elles un lien avec ce constat? - On ne lance pas des slogans comme Collabo!» ou Rasez-la!» au hasard. Il faut déjà en être imprégné soi-même. De plus, les mots, les insultes, les regards mêmes voulaient blesser la femme. Racisme et sexisme ont une origine commune. Voulez-vous dire que dans les rangs de FO ou de la CGT ces idées ont droit de cité? Je pense que certains extrêmes, dans le mouvement syndical, sont disposés à exacerber tous ces sentiments-là pour mieux exploiter une situation de crise. On parle toujours de Le Pen. Mais il n'y a pas que lui à vouloir profiter du terreau de la révolte. - N'avez-vous pas choisi une attitude trop aristocratique? Vous-même, n'appartenez-vous pas à l'élite? - Sans doute, et hélas! dans la mesure où les dirigeants syndicaux sont identifiés comme tels par les Français. Et il y a une tentation, en chacun d'entre nous, d'accepter cette identification. Mais j'y résiste, je crois, très bien. Je sais qu'il faut fuir comme la peste ce genre de séduction. - Pourtant, vous accepteriez bien d'être ministre d'un gouvernement d'alternance... - Honnêtement, je vous réponds non, avec 1% de doute. Le politique s'inscrit par nature dans un contrat à durée déterminée, alors que nous avons besoin de rythmes longs pour faire les changements de fond qui m'intéressent. Les politiques passent, et moi, secrétaire générale, je reste. Enfin... les syndicats et leurs leaders restent. Rien ne vous différencie d'un homme, avec cette belle déclaration! - Si les femmes arrivaient massivement au pouvoir, ça changerait sûrement quelque chose. Quant à moi, je crois que le pouvoir requiert quelques qualités unisexes. Quand cessez-vous de dire la CFDT» pour dire je»? - J'essaie de dire les deux alternativement. Quand je dis nous», il paraît qu'on ne sait pas qui c'est. Mais je ne dois pas perdre de vue que je ne suis rien sans les militants. Les plus lus OpinionsEditoAnne RosencherChroniquePar Gérald BronnerLa chronique d'Aurélien SaussayPar Aurélien Saussay, chercheur à la London School of Economics, économiste de l'environnement spécialiste des questions de transition énergétiqueChroniqueAbnousse Shalmani

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Sujet Re: Ça n'arrive pas qu'aux autres Ven 5 Déc 2014 - 22:44: Ah oui quand même beau cadeau ! J'ai souvent joué sur WorldTempus, mais rien : aB Membre référent. Nombre de messages: 6222 Age: 36 Localisation: Paris Date d'inscription : 08/10/2011: Sujet: Re: Ça n'arrive pas qu'aux autres Ven 5 Déc 2014 - 22:45: Félicitations!! Original ce modèle,

Dautres témoignages montrent qu’il est possible d’arrêter de fumer, même pour les fumeurs les plus dépendants. Un thème récurrent dans ces témoignages est que les maladies causées par le tabac n'arrivent pas qu'aux autres. Le but de cette brochure est de vous motiver à arrêter de fumer, en vous proposant, au-delà des

Ça n`arrive pas qu`aux autres Compagnie Kaléidoscope 5 Rue Hector Berlioz 38 130 Echirolles Tel 06 68 36 65 61 Email [email protected] /Site SIRET 38140803800028 URSSAF 38014710800377 APE 9001Z Ça n’arrive pas qu’aux autres » Spectacle-Débat sur la Sécurité Routière De Laurence Grattaroly et Marie-Ange Boissy-Gomez Mise en scène Laurence Grattaroly 3 Représentations 1 100 spectateurs 1 Avant-propos Ce spectacle vient d’obtenir le prix de la Fondation TRANSDEV. Nous allons pouvoir financer la sortie du livret contenant le texte du spectacle illustré ainsi que des recommandations faites par la Sécurité Routière. Il sera préfacé par Monsieur Rampon, Directeur de cabinet de Monsieur le Préfet de l’Isère. Il sera offert à chaque spectateur. 1. Le Spectacle C'est un spectacle interactif qui met en scène un jeune dénommé Sébastien. Il va fêter ses 18 ans. Les spectateurs rentrent dans la salle, ils vont jouer le rôle des amis invités par la mère pour cet anniversaire surprise. Bonbons, petits gâteaux accueillent le public. La mère leur donne quelques consignes et Sébastien arrive. Surprise! Le public entonne le joyeux anniversaire. On sort le gâteau géant. Sébastien souffle les bougies. Distribution des cadeaux. La mère donne alors une clé de voiture. A ce moment le spectacle bascule....ce fils le connait-elle bien? N’y a-t-il pas plusieurs Sébastien? Quels dangers encourent-ils ? On voit alors sur scène tout ce qui se passe dans la tête de la mère pendant cette fraction de seconde. Ce spectacle vise à favoriser une culture de la sécurité routière en abordant différentes problématiques liées aux comportements des usagers, à l’utilisation des stupéfiants, aux véhicules à moteur, aux infrastructures routières ainsi qu’aux différentes solutions de transport. De nombreuses thématiques sont abordées afin que les notions du partage de la route soient entendues et que piétons, cyclistes et conducteurs de véhicules à moteurs apprennent à se comprendre et se respecter. C'est un spectacle qui entraine le spectateur dans une suite de situations mêlant réalisme et fantastique. Un spectacle intense chargé d’émotion qui s’adresse à tous ceux qui partagent la route avec les autres. À partir de 10 ans. Durée 1 heure Distribution Interprètes Boissy-Gomez, Langloÿs Régie Lumière / Décor Costumes Boissy-Gomez / Musique 2 2. Le Débat Suite à la représentation, un débat aura lieu afin de favoriser les échanges sur les problèmes de sécurité routière. Le public pourra alors poser ses questions, faire connaitre son ressenti, faire partager ses expériences. Un temps de Discussion intergénérationnel pour mieux s’écouter et se comprendre. Il sera conduit par Laurence Grattaroly, Marie-Ange Boissy-Gomez et les membres de l’équipe organisatrice. Le public posera ses questions. Laurence Grattaroly et Marie-Ange Boissy-Gomez ont un grand savoir-faire dans la conduite des débats. Elles savent susciter la parole, ouvrir des voies de réflexion, favoriser la discussion. 3. Historique du Projet Depuis 6 ans la Compagnie Kaléidoscope met en place des ateliers artistiques et pédagogiques avec des classes du Lycée Guynemer. Fort de la réussite de ces projets, le Proviseur Monsieur Gagnepain en collaboration avec Monsieur Veyrat de La DDTI Direction Départementale des Territoires de l’Isère a demandé à Laurence Grattaroly de construire un projet ayant pour thème la sécurité routière. Les équipes administratives et pédagogiques fédèrent de nombreux projets. Le lycée des métiers de l'automobile se "doit" de s'engager dans ceux concernant la sécurité routière, ce qu'il a fait cette année dans cette action novatrice en partenariat avec l'association Kaléidoscope » Jean-Louis Gagnepain Le projet a commencé dans une classe de seconde Carrosserie par un travail de discussion et de débat sur cette thématique en concertation avec le professeur de français Madame Valyi. S’en est suivi la réalisation d’un questionnaire diffusé par les élèves à 230 personnes du lycée et l’écriture de saynètes. Laurence Grattaroly a pris en compte l’ensemble de ce travail et a écrit librement un texte théâtral avec Marie-Ange Boissy-Gomez. Le public visé concerne soit un public intergénérationnel soit un public de 13 à 20 ans. Ce projet permet de  Donner à voir et à entendre différentes situations quotidiennes de mises en danger sur la route.  Clarifier la notion de danger et de vulnérabilité.  Travailler sur les représentations des véhicules à moteurs.  Contribuer à porter un regard différent sur les comportements et les conduites addictives.  Interroger sa propre attitude sur la route.  Favoriser la réflexion, les échanges entre les jeunes, les professionnels et les équipes enseignantes.  Développer la curiosité, la capacité à s’interroger, la faculté à repérer et à porter à la conscience. 3 4. Les Ateliers Suite au débat, les Intervenants Départementaux de la Sécurité Routière pourront animer des ateliers en mettant à disposition du public les testochocs, les simulateurs de conduite et d’autres outils pédagogiques. Un moment de rencontre très formateur et ludique où l’on apprend en jouant. Le projet comprenant le spectacle, le débat et les ateliers a été réalisé et présenté les 14 et 15 Novembre 2011 au Prisme de Seyssins devant 1 000 spectateurs dont 800 élèves. Les retours ont été très positifs et des demandes de représentations supplémentaires ont été faites. 5. Fiche technique et financière hors ateliers La Fiche Technique Simplifiée Durée du spectacle 1 heure / Tout Public à partir de 10 ans Durée du Débat 1 à 2 heures Jauge 100 à 150 spectateurs maximum afin que le débat puisse être pertinent Espace scénique 6m x 5m de préférence. Peut être joué sur un espace de 5m x 5m Rideau de fond de scène noir + pendrillonage Matériel son 1 sono avec un lecteur CD MP3 Pour tout renseignement technique contacter Hélène Giraud-Heraud 06 67 95 34 27/[email protected] Pour les tarifs, nous contacter Laurence GRATTAROLY, Metteur en Scène Cie Kaléidoscope, 5 Rue Hector Berlioz, 38130 Echirolles, France Tel 06 68 36 65 61 Mail [email protected] / Site 4 6. La Compagnie Kaléidoscope Depuis sa création en 1990 La Compagnie Kaléidoscope mène un travail d’éducation à la culture. Elle a réalisé quelques 200 projets dans toute la France en présentant des spectacles professionnels en direction de tous les publics, en créant des spectacles où se rencontrent comédiens amateurs et professionnels, en mettant en place des sessions de formation théâtre. La Metteur en Scène et la Directrice Artistique de la compagnie Kaléidoscope s’appelle Laurence Grattaroly, une femme passionnée d’une énergie rare qui sait porter haut son art. Elle aime conduire des projets qui font rêver, s’enthousiasmer et réagir. Elle aime allier aventure artistique et aventure humaine. Ses spectacles permettent à chaque spectateur initié au néophyte de pouvoir se retrouver. La démarche artistique développée favorise la rencontre intergénérationnelle, sociale, culturelle et artistique. Elle permet de redonner une identité à un territoire choisi, de recoudre un tissu social souvent délité et fédérer un corps social autour de valeurs d’échanges, de savoir et de construction de l’individu. De 1990 à 1997 la Compagnie a travaillé avec la CCAS EDF en mettant en place un nombre considérable de projets théâtre au niveau national tant dans les centres jeunes que les centres adultes. La compagnie a été en tournée nationale pendant deux ans avec le spectacle Femme ». Elle a d’autre part développé le travail de rencontre entre artistes professionnels et comédiens amateurs en créant au Château de Bon Repos à Jarrie Les Noces de Sang » de F. Garcia Lorca. De 1998 à 2007 la Compagnie a été très active sur le e Canton de Vif en Isère, un secteur périurbain en pleine expansion démographique mais sans aucun service culturel. Elle a développé le concept de nécessité culturelle et a été fortement soutenue par les élus des Mairies de Varces, Saint Paul de Varces, Le Gua, Claix, Vif ainsi que le Conseil Général de l’Isère, le Conseil Régional Rhône-Alpes, la Direction Départemental Jeunesse et Sport. Le bilan de ces neuf années est très positif et a atteint ses objectifs Faire naître en périphérie des projets culturels à échelle humaine, intergénérationnels guidés par le sens, la rigueur artistique et permettant de tisser du lien social ». Des projets qui ont valorisé des valeurs fondamentales de la compagnie Rencontre, Connaissance, Curiosité, Respect. » Ce bilan peut se résumer par quelques chiffres 5 projets culturels d’envergure dont la création d’ un festival international de théâtre en collaboration avec des troupes du Québec/6 créations théâtrales Qui l’eut cru ? » de Lelong, L’oiseau bleu » de M. Maeterlinck, Pluie d’étoiles » de Historia Parc » de Une vie » de et MA. Boissy Gomez, Une petite entaille » de 000 spectateurs/ 70 intermittents du spectacle » embauchés/2 300 personnes formées dans les ateliers de différentes structures Centres sociaux, Collèges, Compagnies…./4 sessions de chantiers culturels d’insertion afin de permettre à des jeunes en difficulté de côtoyer le monde artistique/7 Expositions , 30 Animations et l’écriture d’un livre commémorant le 60ème anniversaire de la Libération. 5 Depuis 2007 La compagnie a quitté le secteur de Vif et a orienté son travail avec différentes structures tant sur le plan départemental que régional, national et international. Elle poursuit ce qui lui tient à cœur Le concept de nécessité culturelle et la diffusion du spectacle vivant auprès de différents publics. Laurence Grattaroly a trouvé en la personne de la comédienne Marie-Ange Boissy-Gomez une artiste engagée, compétente et humaniste. Un duo artistique, humain et militant qui réalise des projets théâtraux permettant aux spectateurs et aux participants de vivre de véritables aventures humaines d’exception. Elles sont intervenues pendant 3 ans à l’Université des Arts du Spectacle de Grenoble. Elle avait créé un projet qui permettait aux étudiant de participer à l’élaboration du projet culturel, de suivre une formation en théâtre, de découvrir les processus de création en jouant dans un spectacle, de présenter le spectacle au festival universitaire international du Suroît au Québec. Elles ont été sollicitées en 2008 par le service culturel de la ville d’Echirolles en Isère pour former des jeunes à la pratique théâtrale. Elles ont su créer deux groupes, un groupe de débutants composé de 14 jeunes et un groupe de confirmés composé de 13 jeunes âgés de 17 à 22 ans avec lesquels elles créent des spectacles et les emmènent dans des festivals nationaux et internationaux. Ces jeunes ont obtenu le 1er prix du prestigieux festival international de Fez au Maroc en Avril 2012 ainsi que le 1er prix d’interprétation féminine. Elles interviennent aussi dans différents établissements scolaires et notamment les lycées pour mener des ateliers de pratique artistique et de création théâtrale ainsi qu’à l’IFTS Institut de formation des travailleurs sociaux depuis 1991. Elles ont coécrit les 4 spectacles professionnels de la compagnie actuellement en tournée Une Vie », spectacle-débat sur la vieillesse et droit de mourir dans la dignité » spectacle-débat pour lutter contre les discriminations Ça n’arrive pas qu’aux autres », spectacle-débat sur la sécurité routière Les Boites à Secrets », spectacle sur la bientraitance et les droits de l’Enfant Et puis il ya tout le reste……que vous pouvez découvrir en consultant le site 6 7. ANNEXES 7 LES CHIFFRES Le projet a commencé dans une classe de seconde Carrosserie de 20 élèves par un travail de discussion et de débat sur cette thématique en concertation avec le professeur de français Madame Valyi. S’en est suivi la réalisation d’un questionnaire diffusé par les élèves à 230 personnes du lycée et l’écriture de saynètes. Le spectacle a été joué 3 fois. Action Sécurité routière LP Guynemer / Association Kaléidoscope Année scolaire 2011-2012 Planning de réservation pour les séances du mardi 15 novembre 2011 Séance de 9h00 Etablissement Séance de 14h00 Elèves Encadrement Etablissement Elèves Encadrement Collège Marc Sangnier Seyssins 59 5 LP J. Jaurès Grenoble 60 4 Lycée Sassenage 58 6 LP T. Edison Echirolles 83 7 Collège Stendhal Grenoble 65 3 Lycée R. Deschaux Sassenage 40 4 Lycée Argouges Grenoble 52 3 Lycée Marie Curie Echirolles 70 5 Lycée Guynemer Grenoble 91 7 Lycée Aristide Bergès Seyssinet 88 5 Lycée F. Dolto Fontanil 86 6 Lycée Guynemer Grenoble 39 4 466 35 325 Total 24 Total 359 501 Complet pour l'après-midi séance tout public lundi 14/11 à 20h 250 personnes. Le spectacle a donc touché 791 élèves, 59 accompagnateurs et 250 personnes de tout âge soit au total 1 110 personnes 8

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Pour donner un exemple concret, prenez un père célibataire, qui a un accident de trottinette en allant au bureau ou encore qui tombe d’un escabeau à la maison. Qu’est-ce qu’il va se passer pour ses deux enfants ? Il va quand même falloir qu’on s’occupe d’eux, qu’on les conduise à l’école, qu’on leur prépare leurs repas, etc. Prenons également l'exemple des seniors, catégories les plus exposées aux chutes. Harmonie Mutuelle s'est posée la question des démarches de prévention à suivre avant d'être dans une démarche de prévoyance. Pour ce faire, des tests "lever et marcher chronométré" ont été mis en place. Cela consiste à demander aux seniors de se lever de leur siège sans aide, de faire quelques pas, de faire demi-tour et de venir s’asseoir à nouveau. Si celui-ci fait cela en moins de 14 secondes, cela signifie que sa mobilité est encore tout à fait suffisante. S’il met plus de 14 secondes, il y aura certainement des aménagements à prévoir dans son logement et il faudra avoir recourt à un ergonome pour qu’il limite les risques de chutes. Les garanties accidents de la vie » Harmonie Mutuelle amènent une garantie, une prestation d’assistance à domicile. Cette va venir prendre en compte ces cas-là avec des prestations d'assistance, voir des indemnités. Si ce saut a des conséquences encore plus dramatiques, avec une invalidité, et bien la garantie "accidents de le vie" d'Harmonie Mutuelle va venir adapter le logement, adapter le véhicule et amener tout un tas de prestations, d'aides à domicile par exemple. En résumé, la "garantie des accidents de la vie" accompagne les adhérents et leur famille tout au long de leur vie. Les accidents de la vie, ça n'arrive pas qu'aux autres Sommes-nous bien protéger contre les accidents de la vie ? L’actualité par la rédaction de RTL dans votre boîte mail. Grâce à votre compte RTL abonnez-vous à la newsletter RTL info pour suivre toute l'actualité au quotidien S’abonner à la Newsletter RTL Info lqJpB7f.

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