LeNail Art, l’art de dĂ©corer ses ongles, semble ĂȘtre en vogue sur les rĂ©seaux oĂč tutoriels, vidĂ©os et blogs modes sponsorisĂ©s se disputent le marchĂ©.On se souvient aussi des body hackers qui se mettaient des implants magnĂ©tiques au bout des doigts ou, d’une maniĂšre moins invasive, du vernis aimantĂ©, pour ressentir les champs Ă©lectro-magnĂ©tiques
AprĂšs une refonte de l’espace Homme il y a peu de temps, c’est au tour de l’accessoire. Un univers totalement repensĂ© qui, Ă  coup sĂ»r, ne vous laissera pas insensible ! C’est dans un dĂ©dale de Stockman que la mise en bouche s’opĂšre, exprimant le discours mode du magasin. Dans cette nouvelle architecture aux lignes Ă©purĂ©es, les accessoires y sont magnifiĂ©s au sein d’un mĂȘme Ă©crin. Sur cette vague de modernitĂ©, le Bon MarchĂ© est allĂ© encore plus loin. Deux fois par saison, le grand magasin dĂ©niche le meilleur des tendances. Une sĂ©lection exclusive prend place dans cette vitrine pour vous proposer ce qu’il y a de mieux Septembre, sous le signe Pure Graphic », prĂ©sente des accessoires aux lignes structurĂ©es et gĂ©omĂ©triques ; Novembre, lui, prendra des airs baroque’n’roll » afin de faire scintiller votre garde robe mĂȘme en plein hiver. Et comme la culture n’est jamais loin, Le Bon MarchĂ© a invitĂ© trois artistes Ă  cĂ©lĂ©brer l’ouverture de ce nouvel espace. Lorenzo Petrantoni, illustrateur, Analogia project, un duo composĂ©es du designer Andrea Mancuso et de l’architecte Emilia Serra ainsi que la participation du studio de trois designers Akarte. Chacun Ă  leur maniĂšre, ils s’approprient les lieux afin de vous offrir une promenade d’exception. Vous l’aurez compris, vous n’avez dĂ©sormais plus aucune excuse pour ne pas flĂąner au Bon MarchĂ© ! A partir du 21 septembre Allison Devillers

RachetĂ©en 2012 par trois dirigeants : Laurence PY, François Leonard et Laurent Treuil, le rĂ©seau est aujourd’hui numĂ©ro 1 en France de la pose d'ongles acrylique et gel en franchise. La franchise L'Onglerie compte 115 centres dont 3 centres pilotes Ă  Bordeaux, Rouen Jeanne d’Arc et Saint-Orens-de-Gameville.

Sommaire L’évolution des obligations rĂ©glementaires dans le secteur de l’esthĂ©tiqueLa nouvelle lĂ©gislation des ERPLe droit de la consommationL’encadrement croissant de certaines pratiquesLa rĂ©glementation des nouvelles prestations esthĂ©tiquesL’insĂ©curitĂ© rĂ©glementaireConclusion sur une profession de plus en plus rĂ©glementĂ©e L’évolution des obligations rĂ©glementaires dans le secteur de l’esthĂ©tique Les vingt derniĂšres annĂ©es ont vu une consĂ©quente Ă©volution des obligations rĂ©glementaires dans le secteur de l’esthĂ©tique. Disons d’emblĂ©e que cette prolifĂ©ration de lois et d’obligations ne concerne pas que les mĂ©tiers de la beautĂ© et du bien-ĂȘtre il s’agit d’une tendance gĂ©nĂ©rale Ă  la normalisation qui touche toute la sociĂ©tĂ©. L’emblĂšme de cette Ă©volution est l’application de ce qu’on appelle le principe de prĂ©caution , c’est Ă  dire l’idĂ©e de minimiser les risques. La recherche du risque 0 » s’impose dans nos sociĂ©tĂ©s modernes. Elle se traduit par un encadrement plus fort de toutes les activitĂ©s qui touchent au corps humain comme les professions esthĂ©tiques. Cette question rĂ©glementaire se pose notamment avec beaucoup d’acuitĂ© au sujet de toutes les nouvelles prestations permises par les appareils Ă  visĂ©e esthĂ©tique. Mais le souci sĂ©curitaire a Ă©galement donnĂ© le jour Ă  une nouvelle lĂ©gislation concernant les Ă©tablissements qui reçoivent du public, comme les instituts, les spa ou les bars Ă  ongles. Ces commerces doivent en outre s’adapter aux Ă©volutions du droit de la consommation, qui affirme des exigences toujours plus strictes en matiĂšre de transparence. L’institut de beautĂ©, qui est Ă  la fois un commerce recevant du public mais aussi une profession technique encadrĂ©e, doit intĂ©grer toutes ces nouvelles dispositions. Pour en savoir davantage, suivez-moi dans cet article qui passe en revue l’évolution des obligations rĂ©glementaires dans le secteur de l’esthĂ©tique. La nouvelle lĂ©gislation des ERP Tout commerce tombe sous la rĂ©glementation des ERP » Établissement Recevant du Public ». Ainsi, difficile aujourd’hui d’amĂ©nager un local en faisant l’impasse d’un architecte, qui va prĂ©parer le dossier pour la Commission d’évaluation dont dĂ©pend l’avis favorable d’ouverture. L’accueil des personnes handicapĂ©es Par exemple, l’obligation d’accueillir les personnes handicapĂ©es va dĂ©terminer de nombreux dĂ©tails d’amĂ©nagement d’un institut comme la largeur d’un couloir, l’inclinaison d’une rampe d’accĂšs, l’emplacement des interrupteurs ou d’une poignĂ©e de porte de toilettes
 Elle n’admet pas de dĂ©rogation si l’activitĂ© est nouvelle, mais peut souffrir des exceptions s’il s’agit d’une reprise de fonds de commerce. En effet, l’adaptation des locaux professionnels pour permettre l’accĂšs aux personnes Ă  mobilitĂ© rĂ©duite s’est rĂ©vĂ©lĂ©e si problĂ©matique dans de nombreux cas que l’application de la loi, initialement prĂ©vue en 2011, a Ă©tĂ© plusieurs fois repoussĂ©e. Finalement, devant l’impasse oĂč cette loi conduisait certains commerçants, des dĂ©rogations ont Ă©tĂ© autorisĂ©es, notamment s’il s’avĂšre que l’amĂ©nagement du local est techniquement impossible ou requiert des investissements hors de proportion avec l’activitĂ© exercĂ©e. Notez que dĂ©poser une demande de dĂ©rogation motivĂ©e est nĂ©anmoins obligatoire. Cet assouplissement de la loi bĂ©nĂ©ficie Ă  toutes les nombreuses professionnelles de l’esthĂ©tique qui exploitent leur activitĂ© dans un local exigu la taille moyenne d’un institut est de 50 M2, rappelons-le, ou qui exercent en Ă©tage, parfois sans ascenseur. La sĂ©curitĂ© des locaux La rĂ©glementation s’est constamment durcie pour assurer une plus grande sĂ©curitĂ© des locaux. Ainsi, un Ă©tablissement recevant du public comme un institut de beautĂ© ou un bar Ă  ongles doit respecter des exigences prĂ©cises, quelle que soit l’anciennetĂ© du local. Dans ce cadre, un contrĂŽle de l’installation Ă©lectrique et des extincteurs d’incendie est obligatoire tous les deux ans. Il doit ĂȘtre effectuĂ© par un organisme habilitĂ© Ă  dĂ©livrer une attestation de conformitĂ©. A dĂ©faut de pouvoir la fournir, tout contrĂŽle peut aboutir Ă  une amende avec l’obligation d’effectuer les travaux, voire Ă  la fermeture pure et simple du magasin. Sachez Ă©galement qu’au moindre sinistre d’origine Ă©lectrique, comme un incendie, votre assurance professionnelle refusera de prendre en charge les dĂ©gĂąts si vous ĂȘtes dans l’impossibilitĂ© de fournir le prĂ©cieux document. Si le local est neuf, il incombe Ă  votre Ă©lectricien de vous fournir le consuel » qui atteste que l’installation est conforme. S’il s’agit d’une reprise de local, un diagnostic devra ĂȘtre effectuĂ© par un organisme de contrĂŽle habilitĂ© du type Dekra, Veritas etc. Enfin, certains points supplĂ©mentaires ne devront pas ĂȘtre oubliĂ©s, comme la signalĂ©tique des extincteurs ou l’affichage de consignes Ă  respecter en cas d’incendie. Et mĂȘme si votre futur institut fait 50 M2, le simple oubli d’un panneau lumineux permanent issue de secours » au dessus de la porte du magasin non branchĂ© sur le compteur, peut disqualifier un dossier et reporter l’ouverture de plusieurs semaines ! Le droit de la consommation Un institut de beautĂ© est un commerce Ă  ce titre, il doit se conformer au Droit de la Consommation. De nombreux contrĂŽles de la Direction de la RĂ©pression des Fraudes ont ainsi pour objectif de vĂ©rifier que les tarifs de toutes les prestations sont affichĂ©es Ă  l’intĂ©rieur comme Ă  l’extĂ©rieur du magasin vitrine ou porte. Chaque produit proposĂ© Ă  la vente doit ĂȘtre Ă©galement Ă©tiquetĂ© d’un prix. Un contrĂŽleur vĂ©rifiera aussi si chaque cliente reçoit bien un ticket de caisse – la remise d’un ticket Ă©tant obligatoire pour toute vente de produit ou de prestation supĂ©rieure Ă  15 euros. La loi continue d’ailleurs de se durcir, puisque dĂšs l’an prochain, tous les centres de bien ĂȘtre et beautĂ© auront l’obligation d’avoir une caisse informatisĂ©e conforme Ă  la nouvelle norme 2018 pour en savoir plus, je vous invite Ă  cliquer sur ce lien. Savez-vous par ailleurs que toute prestation de service facturĂ©e plus de 100 euros peut donner lieu Ă  un devis si le cliente l’exige, et que le rappel de cette loi doit ĂȘtre affichĂ© en magasin ? L’encadrement croissant de certaines pratiques L’évolution rĂ©glementaire dans le secteur de l’esthĂ©tique s’est emparĂ©e plus particuliĂšrement de certaines prestations considĂ©rĂ©es Ă  risques pour le consommateur. Bronzage par UV Parmi les prestations dans le collimateur du lĂ©gislateur, aucune n’est plus rĂ©glementĂ©e que le bronzage par UV. AlertĂ© par la recrudescence des cancers de la peau, les autoritĂ©s ont en effet constamment alourdi la liste des obligations qui incombent Ă  l’esthĂ©ticienne possĂ©dant un solarium faire contrĂŽler la conformitĂ© de son matĂ©riel tous les 2 ans par un organisme agréé, afficher des informations prĂ©ventives en magasin, avoir des lunettes de protection Ă  disposition du public
 Mais surtout, des dispositions trĂšs restrictives encadrent depuis 2016 la vente de ces prestations pour approfondir ce sujet, cliquez ici cet article peut vous intĂ©resser. En outre, la rĂ©glementation Ă©voluant sans cesse, un stage de remise Ă  niveau est imposĂ© Ă  l’esthĂ©ticienne tous les 5 ans. Maquillage permanent Une autre technique encadrĂ©e est le maquillage permanent. Pour pouvoir exercer cette activitĂ©, l’esthĂ©ticienne doit justifier d’une attestation de compĂ©tence obligatoire, dĂ©livrĂ©e par un organisme de formation agréé. En outre, s’ajoute l’obligation d’effectuer un stage de trois jours soit 21 heures afin de maĂźtriser les rĂšgles d’hygiĂšne et de salubritĂ© qui entourent cette pratique. Notez que de nouvelles techniques comme le micro blading », apparues rĂ©cemment, connaissent les mĂȘmes obligations. La rĂ©glementation des nouvelles prestations esthĂ©tiques Une nouvelle gĂ©nĂ©ration d’appareils L’arrivĂ©e sur le marchĂ© d’une nouvelle gĂ©nĂ©ration d’appareils Ă  visĂ©e esthĂ©tique a considĂ©rablement renouvelĂ© la pratique des esthĂ©ticiennes au cours des dix derniĂšres annĂ©es. Ainsi, certaines prestations proposĂ©es en institut sont dĂ©sormais clairement dĂ©rivĂ©es de la mĂ©decine esthĂ©tique. Les exigences en terme de rĂ©sultat exprimĂ©es par la clientĂšle, en matiĂšre d’amincissement, de traitement de la cellulite ou de technique anti-Ăąge poussent d’ailleurs le secteur esthĂ©tique vers l’innovation. Signe de cette tendance, on voit fleurir depuis quelques annĂ©es des concepts d’instituts spĂ©cialisĂ©s sur ces nouvelles prestations et Ă©quipĂ©s d’appareils dernier cri. Mais si le mĂ©tier d’esthĂ©ticienne change en se technicisant », il suscite en retour certains dĂ©bats rĂ©glementaires. En effet, les lois encadrant la profession s’avĂšrent totalement dĂ©passĂ©es pour trancher de la lĂ©galitĂ© de certaines prestations rĂ©centes. S’engouffrant dans cette faille, de nombreux fournisseurs se sont positionnĂ©s sans attendre sur ce marchĂ© d’appareils de nouvelle gĂ©nĂ©ration dĂ©rivĂ©s de matĂ©riels utilisĂ©s par la mĂ©decine esthĂ©tique. Les mĂ©tiers de l’esthĂ©tique ne peuvent-ils profiter du progrĂšs technique comme toute autre profession ? Cette question semble davantage enflammer la France que ses voisins EuropĂ©ens, oĂč les esthĂ©ticiennes sont globalement plus libres dans l’exercice de leur profession. Ainsi, nos voisines commercialisent sans restriction des techniques innovantes comme la dĂ©pilation par lumiĂšre pulsĂ©e ou l’amincissement par ondes Ă©lectro magnĂ©tiques, tandis qu’en France, ces pratiques ont gĂ©nĂ©rĂ© des dĂ©bats sans fin
 Au centre de la discussion se pose la question dĂ©licate de la frontiĂšre entre soin mĂ©dical et prestation esthĂ©tique. DĂ©bat qui est loin d’ĂȘtre serein, le lobby mĂ©dical s’insurgeant de toutes ses forces contre ce qu’il considĂšre ĂȘtre son prĂ© carrĂ©. C’est ainsi que pendant des annĂ©es, le palper rouler » Ă©lectrique a Ă©tĂ© farouchement dĂ©fendu par les kinĂ©sithĂ©rapeutes, qui prĂ©tendaient l’interdire aux esthĂ©ticiennes
 Finalement, la pratique du palper rouler s’est gĂ©nĂ©ralisĂ©e et plus personne aujourd’hui ne conteste sĂ©rieusement le droit aux esthĂ©ticiennes de la proposer. Le leader du marchĂ©, la sociĂ©tĂ© LPG, a Ă©tĂ© amenĂ©e Ă  diffĂ©rencier les appareils qu’elle vend au secteur mĂ©dical et esthĂ©tique. En sera t -il de mĂȘme pour d’autres prestations plus rĂ©centes ? L’appellation CE mĂ©dical sur les appareils esthĂ©tiques Le cas de la lumiĂšre pulsĂ©e est tout Ă  fait emblĂ©matique de cette confrontation entre mĂ©decins et esthĂ©ticiennes. Les mĂ©decins utilisent des lasers qui permettent le traitement de diffĂ©rentes lĂ©sions, mais aussi la dĂ©pilation. Comme souvent, c’est l’arrivĂ©e d’une nouvelle gĂ©nĂ©ration d’appareils qui va faire dĂ©bat. Cette nouvelle technologie est la lumiĂšre pulsĂ©e. D’un coĂ»t beaucoup plus abordable que le laser, elle met la dĂ©pilation Ă  la portĂ©e financiĂšre des esthĂ©ticiennes. Force est de constater qu’en plus, l’usage de ces nouveaux appareils est assez simple. Le succĂšs est immĂ©diat, mais les procĂšs intentĂ©s par les mĂ©decins ne se font pas attendre
 En effet, la lĂ©gislation, qui date de 1962, dĂ©finit de façon restrictive l’épilation autorisĂ©e aux esthĂ©ticiennes elle doit obligatoirement ĂȘtre pratiquĂ©e Ă  la cire ou Ă  la pince. Pourtant, la profession tient bon, et le taux d’équipement en appareils Ă  lumiĂšre pulsĂ©e grandit d’annĂ©e en annĂ©e. Chaque jour, des centaines de prestations sont effectuĂ©es dans les instituts, sans qu’augmentent en parallĂšle les incidents. Finalement, aprĂšs une enquĂȘte diligentĂ©e par la HAS en 2018, le Conseil d’Etat conclut fin 2019 Ă  l’autorisation de pratiquer la lumiĂšre pulsĂ©e pour les esthĂ©ticiennes, la dangerositĂ© de la prestation n’ayant pas pu ĂȘtre dĂ©montrĂ©e. OĂč en est-on aujourd’hui ? Face Ă  un mĂ©tier qui Ă©volue de plus en plus vers le high tech et les soins experts, en particulier en matiĂšre d’anti Ăąge et minceur, le lĂ©gislateur EuropĂ©en a dĂ©cidĂ© d’adopter une nouvelle norme CE MĂ©dical » qui va s’imposer Ă  tous les appareils Ă  visĂ©e esthĂ©tique. L’objectif avoir des matĂ©riels plus sĂ»rs et plus fiables, mettre en place une traçabilitĂ© des accidents, imposer des tests d’efficacitĂ© et d’innocuitĂ© aux fabricants. PrĂ©vue Ă  l’origine en mai 2020, cette rĂ©glementation est actuellement retardĂ© en raison de la crise sanitaire. Ses dispositions exactes sont encore attendues. En attendant, de nombreux distributeurs ont dĂ©jĂ  entrepris de faire certifier leurs appareils. Bon Ă  savoir si vous devez investir, les appareils achetĂ©s antĂ©rieurement Ă  l’entrĂ©e en vigueur de la nouvelle appellation CE Medical » restent autorisĂ©s Ă  la vente et pourront, bien sĂ»r, ĂȘtre exploitĂ©s sans restrictions dans les annĂ©es Ă  venir. L’évolution rĂ©glementaire des diplĂŽmes L’évolution des diplĂŽmes va clairement dans le sens d’une qualification accrue des esthĂ©ticiennes. Le signe du changement arriverait-il par l’enseignement de nouvelles techniques ? Ainsi, Ă  cĂŽtĂ© du CAP esthĂ©tique, dont le programme date de 1962, le contenu du Brevet Professionnel a Ă©tĂ© revu en 2012, tandis qu’arrivait le nouveau BTS cosmĂ©tique-esthĂ©tique. Or les nouveaux programmes revendiquent clairement la pratique des soins corps », avec des enseignements centrĂ©s sur les applications mĂ©caniques, physico-chimiques, par rayonnement des appareils Ă  visĂ©e esthĂ©tique. Des cours prĂ©voient Ă©galement d’apprendre Ă  diffĂ©rencier les modes d’action de ces appareils et d’en connaitre les paramĂštres de sĂ©curitĂ©. En Ă©levant le niveau de connaissance des esthĂ©ticiennes, les autoritĂ©s ont donc admis l’usage de ces appareils dans les instituts de beautĂ©. Cependant, une incertitude demeure si le CAP esthĂ©tique suffit pour s’installer, verra t-on prochainement l’interdiction de certaines prestations aux esthĂ©ticiennes ne justifiant pas d’un brevet professionnel, voire d’un BTS cosmĂ©tique-esthĂ©tique ? L’insĂ©curitĂ© rĂ©glementaire La liste exacte des prestations permises aux instituts utilisant les appareils Ă  visĂ©e esthĂ©tique n’a pas Ă©tĂ© dressĂ©e Ă  ce jour. Certaines applications ressortent clairement du domaine mĂ©dical, et ne posent pas question Ă  l’esthĂ©ticienne, comme le traitement de toute pathologie ou d’une lĂ©sion. Quelle esthĂ©ticienne prendrait le risque d’utiliser la lumiĂšre pulsĂ©e pour traiter de l’acnĂ© ? d’ailleurs, les paramĂštres des appareils commercialisĂ©s au secteur esthĂ©tique sont bloquĂ©s par les fournisseurs pour interdire de telles pratiques. Mais qu’en est-il de l’amincissement ou de l’anti-Ăąge, domaines d’action quotidiens des esthĂ©ticiennes ? A dĂ©faut d’une loi claire, la seule obligation qui s’impose rĂ©ellement au secteur esthĂ©tique est l’objectif revendiquĂ© par la prestation, limitĂ© Ă  la liste suivante aseptisant – nettoyant – hydratant – tonifiant – apaisant – stimulant. Ainsi, une esthĂ©ticienne peut employer la radio frĂ©quence pour tonifier , mais non pour traiter la cellulite ». On voit toute l’ambiguĂŻtĂ© que peut gĂ©nĂ©rer un tel flou rĂ©glementaire, qui s’attache plus Ă  encadrer les termes employĂ©s que les techniques elles-mĂȘmes
 Conclusion sur une profession de plus en plus rĂ©glementĂ©e Globalement, le mĂ©tier d’esthĂ©ticienne est aujourd’hui beaucoup plus rĂ©glementĂ© qu’au tournant des annĂ©es 2000, et cette tendance s’alourdit. Cette prolifĂ©ration d’obligations concerne aussi bien l’installation que l’exploitation d’un point de vente. Cependant, l’évolution rĂ©glementaire la plus attendue reste en construction elle concerne toutes les nouvelles techniques mises Ă  la portĂ©e des esthĂ©ticiennes par la mise sur le marchĂ© d’appareils dĂ©rivĂ©s de la mĂ©decine esthĂ©tique. Ces nouvelles techniques vont amener le lĂ©gislateur Ă  clarifier le pĂ©rimĂštre d’action de l’esthĂ©ticienne. Un dĂ©but de rĂ©ponse a Ă©tĂ© apportĂ© en 2012 avec l’évolution nĂ©cessaire du contenu des diplĂŽmes. Gageons que d’autres changements rĂ©glementaires suivront bientĂŽt, ne serait-ce que pour aligner la lĂ©gislation française sur le droit EuropĂ©en. Si les consommateurs demandent davantage de sĂ©curitĂ©, ils exigent aussi davantage de rĂ©sultat quand ils se rendent dans un institut de beautĂ©. Pourquoi le secteur de l’esthĂ©tique demeurerait-il une enclave privĂ©e de tout droit d’évoluer, faisant exception dans un monde qui connait une rĂ©volution technologique ? Abonnez-vous gratuitement Ă  la newsletter L'information professionnelle dĂ©cryptĂ©e chaque semaine. LangonGironde Home. Debo's ongles, 83, cours du MarĂ©chal- Leclerc, uniquement sur rendez-vous, au 06 03 12 02 71. MarchĂ© hebdomadaire du samedi Ongles - Alpes-de-Haute-Provence - MarchĂ©s Description MarchĂ© hebdomadaire du samedi04230 OnglesMarchĂ© hebdomadaire du samediTous les samedis hebdomadaire du samedi Devant le Foyer rural 4141 Ongles04, Alpes-de-Haute-Provence, Provence-Alpes-CĂŽte d'Azur Horaires * Date du 27 aoĂ»t 2022 au 27 aoĂ»t 2022 * Les manifestations pouvant ĂȘtre supprimĂ©es, annulĂ©es, ajournĂ©es, prenez contact avec les organisateurs avant de vous dĂ©placer. Lieu 04230 - Ongles - MarchĂ© hebdomadaire du samedi Devant le Foyer rural 4141 Ongles MarchĂ© hebdomadaire du samedi HĂŽtels et locations proches. RĂ©servez votre sĂ©jour Ongles maintenant! CONTENUS SPONSORISÉS
\n \n \nle marché de l ongle en france
Avecplus de 2 000 salariés (40 % des collaborateurs de Merck en France) de 32 nationalités différentes et produisant plus de 10 000 produits de référence, Merck Molsheim est le troisiÚme plus grand site du groupe Merck à l'échelle mondiale. Le site fournit le marché mondial, exportant plus de 85 % de sa production. La majorité des produits fabriqués à Molsheim ne sont
Loin d'ĂȘtre rĂ©servĂ©s aux seules lolitas, les nouveaux produits pour la manucure sĂ©duisent aussi les trentenaires et mĂȘme les quadras branchĂ©es. Thinkstock Du vernis au musĂ©e. D'ici Ă  la fin de la rĂ©trospective Georges Braque, qui se tient au Grand Palais jusqu'en janvier 2014, les visiteurs dĂ©couvriront - sĂ»rement avec stupeur - un drĂŽle de kit arty dans la librairie de l'exposition. Un nĂ©cessaire Ă  ongles signĂ© Bourjois, composĂ© de 200 autocollants et pochoirs dont des stickers oiseaux, clin d'oeil Ă  la fameuse huile sur toile, rĂ©alisĂ©e par le peintre en 1960, L'Oiseau noir et l'oiseau blanc. De quoi transformer sa manucure en oeuvre cubiste, donc. Si l'idĂ©e en fait dĂ©jĂ  sourire plus d'une, elle a dĂ©clenchĂ© l'hystĂ©rie des beauty addicts. Car, depuis plusieurs mois, la vague de vernis et d'accessoires de manucure tous plus inattendus les uns que les autres n'en finit pas de sĂ©duire les consommatrices. "L'expression nail art est devenue la premiĂšre requĂȘte maquillage sur Google, remarque Caroline Lamprecht, directrice du marketing chez Gemey Maybelline et Essie France. Les filles, avides de conseils, viennent surtout y chercher des tutoriels postĂ©s sur les blogs beautĂ©. " Surfant sur le phĂ©nomĂšne, certaines marques ont saisi l'opportunitĂ© d'augmenter leur visibilitĂ© en demandant aux blogueuses les plus lues de leur concocter vidĂ©os pratiques et conseils trendy. Ainsi, Gemey Maybelline, Bourjois, L'OrĂ©al Paris ou Essie proposent leur plate -forme manucure, avec dĂ©cryptage de tendances, astuces de pros, battles de nail art entre consommatrices ou focus sur les plus beaux ongles repĂ©rĂ©s lors des dĂ©filĂ©s new-yorkais. Offre limitĂ©e. 2 mois pour 1€ sans engagement La manucure s'apparente davantage Ă  une composante du lifestyle"Cette tendance du vernis nous vient des Etats-Unis, oĂč les femmes possĂšdent une vĂ©ritable culture du nail bar et de la manucure. Mais, en France, elle est bien plus qu'un buzz marketing, et le marchĂ© des vernis continue d'enfler", poursuit Caroline Lamprecht. AprĂšs la dĂ©ferlante des couleurs lancĂ©es notamment par Essie marque amĂ©ricaine dans le giron de L'OrĂ©al avec ses 90 teintes, les vernis Ă  effet se mettent Ă  inonder le marchĂ©. Il suffit de se rendre dans une enseigne Sephora pour voir l'Ă©tendue des possibles. Les marques britanniques qui y sont distribuĂ©es en exclusivitĂ©, telles que Nails Inc, CiatĂ© ou Front Cover, proposent des finis mĂ©tallisĂ©s, pailletĂ©s, matifiĂ©s et mĂȘme tatouĂ©s. Elles ont aussi mis au goĂ»t du jour les effets 3D, avec applications de sequins, de plumes ou de minibilles au look "caviar". "Cette offre plĂ©thorique a surtout permis de transformer le vernis en accessoire de mode, analyse Elizabeth AnglĂšs d'Auriac, directrice du marketing Europe chez Sephora. La manucure s'apparente davantage Ă  une composante du lifestyle et s'envisage plutĂŽt comme un Ă©lĂ©ment qui permet de personnaliser sa silhouette, Ă  l'instar d'un bijou ou d'une paire de chaussures." Un accessoire qui devient surtout de plus en plus facile Ă  utiliser grĂące aux stickers, qui, en Ă©pousant la forme de l'ongle, se collent et se dĂ©collent en un geste. Mais aussi avec les bains express des mousses imbibĂ©es de dissolvant dans lesquelles il suffit de glisser ses doigts un Ă  un pour retirer le vernis. Des innovations qui ont rendu l'Ă©tape manucure moins fastidieuse, apprivoisant d'un coup un public toujours plus large. >>> A lire aussi Quelles solutions pour mes ongles abĂźmĂ©s? MĂȘme Dior s'y met, avec le lancement pour NoĂ«l de Diorific DuoLoin d'ĂȘtre rĂ©servĂ©s aux seules lolitas, ces produits sĂ©duisent aussi les trentenaires et mĂȘme les quadras branchĂ©es. PlutĂŽt accros, elles, aux french bicolores, au maquillage de la lunule la demi-lune Ă  la base de l'ongle, aux motifs gĂ©omĂ©triques. "Je ne pensais pas me prendre au jeu, avoue Julia, parisienne de 33 ans. Sans cĂ©der au marketing des marques cosmĂ©tiques que je trouve souvent trop girly et mĂȘme cheap, je prĂ©fĂšre m'acheter des oeillets de classeur, que je dĂ©coupe pour crĂ©er des formes colorĂ©es sur l'ongle." Un nail art crĂ©atif, donc, soutenu par des marques de mode branchĂ©es, comme Kenzo, qui, au printemps dernier, offrait avec Essie une manucure gratuite reprenant les couleurs fauves de la collection printemps-Ă©tĂ©. Ou encore les workshops du trĂšs pointu collectif Andrea Crews, proposĂ©s dans sa boutique du Marais, Ă  Paris. MĂȘme Dior s'y met, avec le lancement pour NoĂ«l de Diorific Duo. Une manucure "bijou" qui associe base dorĂ©e et billes cristallines Ă  dĂ©poser avec un petit entonnoir, forcĂ©ment dorĂ©. Ou l'art d'accompagner en douceur un phĂ©nomĂšne aux accents rĂ©gressifs et, sĂ»rement, moins anecdotique qu'il n'y paraĂźt. . Les plus lus OpinionsTribunePar Carlo Ratti*ChroniquePar Antoine BuĂ©no*ChroniqueJean-Laurent Cassely
LemĂ©tier de prothĂ©siste ongulaire est un mĂ©tier du secteur de la beautĂ© qui vise Ă  magnifier et protĂ©ger les ongles. Les missions principales d’une prothĂ©siste ongulaire sont les suivantes : Ecoute et conseil de la demande de la clientĂšle ; Pose de faux ongles, pose de vernis simple Ă  motif ou Ă  effets et pose de bijoux d’ongles ; Entre le confinement, le tĂ©lĂ©travail et le port du masque, la crise du Covid-19 a portĂ© un coup au marchĂ© du maquillage, et particuliĂšrement Ă  celui du rouge Ă  lĂšvres, les Françaises prĂ©fĂ©rant insister sur les soins du corps et le vernis. Pendant le confinement, je ne mettais rien, que de la crĂšme hydratante. Les premiers jours, je ne me reconnaissais pas. Je me disais “c’est ça ma tĂȘte en vrai, sans fard ?” Au dĂ©confinement, j’ai adorĂ© me remaquiller, mais j’en mets beaucoup moins. Un coup de mascara et je me sens pimpĂ©e », raconte cette architecte parisienne de 27 ans n’est pas la seule Française Ă  avoir changĂ© sa routine beautĂ©. DĂšs le deuxiĂšme mois de confinement, le marchĂ© de la beautĂ© prestige », regroupant parfumeries et grands magasins, a accusĂ© le coup. Plus de soin, un peu moins de maquillage »CrĂšmes pour le visage, soins du corps, baumes Ă  lĂšvres
 Le grand gagnant des cosmĂ©tiques face au coronavirus est le soin. Le soin de la peau et des cheveux connaĂźt une progression bien plus rapide que le maquillage », indique Sephora. En gros, c’est plus de soin, un peu moins de maquillage », confirme HervĂ© Navellou, directeur gĂ©nĂ©ral de L’OrĂ©al vernis Ă  ongles ont aussi le vent en poupe. Eux qui s’étaient endormis se sont rĂ©veillĂ©s pendant la pĂ©riode », note HervĂ© Navellou. La fermeture des bars Ă  ongles et des salons de beautĂ© » a jouĂ©, commente Mathilde Lion, analyste beautĂ© au cabinet d’études NPD Group. Les femmes ont une envie de couleur, de lĂ©gĂšretĂ© », juge HervĂ© Navellou. Comment avoir des testeurs en pleine pandĂ©mie ? »Le marchĂ© du maquillage a reculĂ© et la rĂ©ouverture des magasins ne va pas jouer en sa faveur. Comment avoir des testeurs en pleine pandĂ©mie ? », s’interroge Mathilde Lion. Le rouge Ă  lĂšvres est le grand perdant de la crise sanitaire. Moins 58 % sur les ventes en ligne par rapport Ă  avril 2019 », remarque l’ masque camouflant le bas du visage, l’attention est portĂ©e sur les yeux. On fait l’hypothĂšse que la consommation de mascaras, de crayons de couleur, va fortement augmenter si le port du masque vient Ă  se poursuivre », avance HervĂ© Navellou. Tendance au plus naturel »En avril, le maquillage pour les yeux enregistrait une hausse de 116 %, surtout la catĂ©gorie reine des mascaras qui augmente de 150 % », explique Mathilde produits sans transfert, qui tiennent malgrĂ© un masque, font une percĂ©e. Le maquillage light blush, poudres bronzantes, anticernes a bien fonctionnĂ©, tout comme les crĂšmes teintĂ©es – alliant effet hydratant et maquillage – qui prend le dessus sur les fonds de teint, plus couvrants », dĂ©crypte Mathilde Lion. En raison du port du masque, les produits longue durĂ©e, sans transfert, rĂ©sistant Ă  l’eau et Ă  la transpiration rencontrent un vif intĂ©rĂȘt », confirme Make Up for Ever. L’usage de ces produits entraĂźne, selon Mathilde Lion, une tendance au plus naturel, et moins de contouring ». Pourquoile marchĂ© professionnel du soin des ongles explose La croissance explosive des ventes dans le secteur des soins pour ongles professionnels a surpassĂ© les taux
La sociĂ©tĂ© neuchĂąteloise Colorix sera prĂ©sente les 9 et 10 juin au Carrousel du Louvre Ă  l’occasion du rendez-vous Make-up in Paris», un rendez-vous d’affaires des professionnels du maquillage en Europe. Elle y prĂ©sentera sa technologie, couplĂ©e Ă  celle de la sociĂ©tĂ© française Provaine en France avec qui elle a signĂ© un partenariat. Les deux sociĂ©tĂ©s ont conçu un automate qui permet de scanner un accessoire ou un vĂȘtement. La couleur est reproduite sur Ă©cran. Puis, en trois minutes, un vernis Ă  ongle de la mĂȘme teinte est dĂ©livrĂ©.Nous avons dĂ©jĂ  testĂ© l’appareil dans une boutique. Toutes les femmes qui l’ont testĂ©, ĂągĂ©es de 20 Ă  60 ans, Ă©taient enchantĂ©es de pouvoir repartir avec un vernis personnalisé», constate David Maurer, fondateur de Colorix. La recette d’une couleur ramenĂ©e Ă  un pot de 8 ou 10 ml nous contraint Ă  des dosages trĂšs prĂ©cis de l’ordre d’un dixiĂšme de microlitre. Une microgoutte en plus ou en moins peut radicalement changer votre teinte», explique Olivier Fiastre, directeur de pour les professionnelles de l'ongleLes premiĂšres machines seront livrĂ©es dĂ©but 2017. ParallĂšlement, une application, dĂ©nommĂ©e La Nail Revolution», sera prochainement disponible sur IOS et Android. Nous visons notamment les manucures Ă  domicile. En France, on en compte 3700», dit David Maurer qui espĂšre Ă©quiper ces professionnelles de l’ongle avec ses colorimĂštres, Ă  savoir des petits appareils capables de scanner et mesurer sĂ©parĂ©ment plus de 50 000 pixels.En 24 heures, les clients obtiendront par la poste des vernis personnalisĂ©s. C’est un marchĂ© Ă©norme», affirme David Maurer, qui prĂ©fĂšre toutefois ne pas se prononcer en matiĂšre de prĂ©vision de ventes. Le marchĂ© de la cosmĂ©tique est tout nouveau pour nous. Des groupes de cosmĂ©tique ont dĂ©jĂ  manifestĂ© leur intĂ©rĂȘt pour la technologie mais nous ne voulons pas fournir d’exclusivitĂ© Ă  une seule marque.»Autres utilisations des colorimĂštresFondĂ©e en 2003, Colorix compte dix employĂ©s. Elle vend ses colorimĂštres Ă  travers la planĂšte. Les peintres ont Ă©tĂ© les premiers Ă  adopter cet appareil capable de remplacer leur nuancier lorsqu’il s’agit de repeindre une façade Ă  la bonne application a aussi Ă©tĂ© dĂ©veloppĂ©e, capable de gĂ©nĂ©rer instantanĂ©ment les couleurs du nuancier RAL sur une photo prise par un smartphone. Depuis, Colorix s’est Ă©galement lancĂ© dans le contrĂŽle qualitĂ© et l’authentification aussi bien dans l’industrie plastique que dans l’horlogerie. A lire aussi Colorix ravive les couleurs Ă  travers la planĂšte
Avantla crise sanitaire de 2020, le marchĂ© de la beautĂ©, et plus particuliĂšrement des instituts Ă©tait en pleine croissance. L'impact des confinements et des limitations successives – couvre-feu, horaires limitĂ©s – est encore mal connu : avant de vous lancer, prenez connaissance des chiffres du secteur, dans le dĂ©tail et dans ses Ă©volutions actuelles. Cet article date de plus de six ans. PubliĂ© le 11/10/2015 2333 DurĂ©e de la vidĂ©o 2 min. FRANCE 3 Article rĂ©digĂ© par Le produit de beautĂ© est devenu un incontournable. En France, sept millions de femmes en portent. Le vernis est un incontournable pour de nombreuses femmes. La tendance touche toutes les gĂ©nĂ©rations, tous les styles et mĂȘme les enterrements de vie de jeune fille s'adaptent et proposent des sĂ©ances de "nail art", soit l'art d'orner son vernis Ă  ongles. Pour mesurer l'ampleur du phĂ©nomĂšne, il suffit de se promener sur le web. En France, il se vend un vernis Ă  ongles toutes les deux secondes. Un marchĂ© florissant venu des pays anglo-saxons. En France, c'est une grande marque de luxe qui a un peu rĂ©inventĂ© le vernis, en crĂ©ant le fameux "Rouge Noir" il y a 20 ans. "On a dĂ©couvert une nouvelle teinte trĂšs audacieuse et qui est venue un peu bousculer tous les codes chromatiques des vernis de l'Ă©poque. Cela a Ă©tĂ© un boom incroyable et toutes les femmes s'en sont emparĂ©es", explique Elsa Durrens, manucure. KQ4X.
  • f9doczzkau.pages.dev/264
  • f9doczzkau.pages.dev/302
  • f9doczzkau.pages.dev/128
  • f9doczzkau.pages.dev/48
  • f9doczzkau.pages.dev/358
  • f9doczzkau.pages.dev/46
  • f9doczzkau.pages.dev/225
  • f9doczzkau.pages.dev/244
  • f9doczzkau.pages.dev/302
  • le marchĂ© de l ongle en france